Promo ! 1 749,00⏠Produit ROBOT DE TONTE Marque Husqvarna ModĂšle 315 Surface 1500 mÂČ Usage Maison et Jardin Poids kg Taille 63 X 51 X 25 Rupture de stock Description Informations complĂ©mentaires DĂ©tails Description LâAutomower 315 est le robot de tonte idĂ©al pour les jardins de petite taille jusquâĂ 1500 m2. Il tond de jour comme de nuit, quâil fasse beau ou quâil pleuve. Encore plus performant il tond sur des pentes jusquâ Ă 40 %, trĂšs silencieux 60 DbA. Encore plus intelligent il est Ă©quipĂ© de la minuterie adaptative, de la dĂ©tection automatique des passages Ă©troits. ConnectivitĂ© Bluetooth grĂące Ă lâAutomower Connect Lite permet de contrĂŽler et paramĂ©trer son robot dans un pĂ©rimĂštre de 10m. Nombreux accessoires compatibles personnalisation coque interchangeable ou sticker personnalisable, abri de protection, Automower Connect version complĂšte offrant le suivi et lâassistance GPS Informations complĂ©mentaires Poids 9,2 kg Dimensions 63 Ă 51 Ă 25 cm Marque Husqvarna ModĂšle 315 Surface Entre 0 et 1500mÂČ Usage Maisons et jardins DĂ©tailsCĂąble guide Le cĂąble guide aide la tondeuse robot Ă retrouver son chemin vers la station de charge plus rapidement. Il Ă©vitera Ă©galement au robot de passer plusieurs fois au mĂȘme endroit afin de pas crĂ©er de traces disgracieuses au sol. , ce qui rĂ©duit les pĂ©riodes de recherche en particulier pour les pelouses de formes complexes. RĂ©glage facile et simple de la hauteur de coupe Le rĂ©glage de la hauteur de coupe peut ĂȘtre effectuĂ© trĂšs facilement en faisant tourner simplement la molette situĂ©e sur le dessus de la machine FiabilitĂ© En matiĂšre de tonte automatique, la fiabilitĂ© est primordiale. Husqvarna a poursuivi le dĂ©veloppement de son concept de tondeuse pendant 20 ans, afin dâatteindre un maximum de fiabilitĂ© et de qualitĂ©, et les meilleurs rĂ©sultats de tonte avec un minimum dâassistance. Excellents rĂ©sultats de coupe GrĂące au schĂ©ma de tonte alĂ©atoire du Husqvarna Automower, le gazon est parfaitement tondu pour obtenir un merveilleux aspect, similaire Ă un tapis. Les lames affĂ»tĂ©es comme des rasoirs coupent lâherbe dĂ©licatement de tous les cĂŽtĂ©s, pour quâelle pousse plus densĂ©ment. Lâapparition de mousse est fortement empĂȘchĂ©e Le jour, la nuit, et mĂȘme le week-end Programmez les heures de tonte en fonction de votre activitĂ©, le jour, la nuit ou le week-end et laissez votre robot prendre soin de vos espaces verts. MĂȘme par temps de pluie, votre herbe va ĂȘtre tondue silencieusement -seulement 58 dbA â sans gĂȘner vos visiteurs. 100 % autonome, il retrouvera sa station de charge tout seul lorsquâil en aura besoin. SystĂšme de coupe unique LâHusqvarna Automower ne coupe quâun petit peu Ă la fois, mais frĂ©quemment, ce qui garantit un gazon beau et sain. Elle est Ă©quipĂ©e de lames affĂ»tĂ©es comme des rasoirs, fabriquĂ©es en robuste acier au carbone et montĂ©es sur un solide systĂšme de disque de tonte. Ceci garantit un fonctionnement efficient et une trĂšs faible consommation dâĂ©nergie Aucune Ă©mission polluante Puisquâelle est Ă©lectrique, lâAutomower ne produit aucune Ă©mission nocive Consommation dâĂ©nergie minime La gestion efficace de lâĂ©nergie assure une consommation dâĂ©nergie rĂ©duite, permettant Ă lâAutomower de travailler pour une fraction du coĂ»t dâune tondeuse conventionnelle Capteurs dâinclinaison Si lâAutomower est soulevĂ©e du sol ou retournĂ©e, le disque de coupe sâarrĂȘte automatiquement et les lames se rĂ©tarctent. En outre, les lames tournent loin du bord externe de la machine. Si lâAutomower rencontre un obstacle elle sâarrĂȘtera et se rĂ©orientera sans rien endommager A lâĂ©preuve des conditions mĂ©tĂ©orologiques. LâAutomower ne craint pas la pluie et peut fonctionner 24h / 24. Le robot tondeuse ne laisse aucune trace sur son passage, grĂące Ă son dĂ©placement alĂ©atoire Vous aimerez peut-ĂȘtre aussiâŠ
Arrosezle gazon 3 Ă 4 fois par jour pendant de courts intervalles pour garder l'herbe humide et lui permettre de prendre racine. Ne pas arroser la nuit ou pendant de longs intervalles. Continuez pendant 10 Ă 14 jours, puis rĂ©duisez lâarrosage Ă une fois par jour pendant une pĂ©riode plus longue. Au fur et Ă mesure que l'herbe prend Un beau gazon et une belle pelouse sont quelque chose dont vous pouvez vraiment ĂȘtre fier et dont vous pouvez profiter tous les jours depuis la fenĂȘtre de votre propre maison. Pourtant, il arrive que le gazon ne pousse pas uniformĂ©ment et, dans ce cas, une pelouse inĂ©gale nâest jamais trĂšs agrĂ©able Ă regarder. Cela mâest dĂ©jĂ arrivĂ© Ă chaque fois, cette petite voix dans ma tĂȘte me disait que je devais y remĂ©dier. Je vous explique pourquoi le gazon ne pousse pas uniformĂ©ment et je vous donne ensuite quelques conseils. Pourquoi le gazon ne pousse pas uniformĂ©ment ? Les deux causes principales qui font quâun gazon ne pousse pas uniformĂ©ment sont que soit votre gazon reçoit trop dâeau et/ou un ensoleillement inĂ©gal. Dans ces deux cas, le gazon ne reçoit pas les nutriments dont il a besoin de maniĂšre uniforme sur toute la pelouse. Une exposition inĂ©gale Ă lâeau et Ă la lumiĂšre entraĂźne une croissance du gazon Ă des rythmes diffĂ©rents, mĂȘme si le gazon est identique sur lâensemble de la pelouse. Il existe dâautres causes, moins courantes, qui peuvent faire quâun gazon pousse de maniĂšre non uniforme avoir semĂ© diffĂ©rents types de gazon,avoir des sols diffĂ©rents dans son jardin,avoir Ă©pandu de lâengrais de maniĂšre inĂ©gale,avoir un sol trop tassĂ©,avoir tondu le gazon Ă une hauteur trop vous explique chacun de ces problĂšmes et comment remĂ©dier au gazon non uniforme. Les causes les plus courantes dâun gazon qui nâest pas uniforme Comme je lâai mentionnĂ© ci-dessus, les deux raisons les plus courantes qui font quâun gazon nâest pas uniforme sont une exposition inĂ©gale Ă lâeau et au soleil sur lâensemble de la pelouse. Trop dâeau sur la pelouse Le gazon est assez dur et contrairement aux plantes plus traditionnelles, il peut gĂ©nĂ©ralement prospĂ©rer, mĂȘme lorsquâil a Ă©tĂ© abondamment arrosĂ©. MĂȘme si lâeau est une bonne chose pour les pelouses, une trop grande quantitĂ© peut faire que votre gazon ne pousse pas uniformĂ©ment. De toute Ă©vidence, lâeau qui est arrosĂ©e de maniĂšre inĂ©gale sur le gazon aura pour effet de faire pousser certaines zones de la pelouse plus rapidement que dâautres. Câest peut-ĂȘtre moins Ă©vident, mais des quantitĂ©s excessives dâeau peuvent aussi causer des problĂšmes de drainage. Si votre pelouse reçoit beaucoup dâeau, celle-ci ne pourra probablement pas sâĂ©couler assez rapidement. En consĂ©quence, des trous vont se former un peu partout dans votre pelouse, ce qui risque de crĂ©er des zones marĂ©cageuses. Ces âtrousâ crĂ©ent alors un cycle sans fin de gazon inĂ©gal. Comme il nây a pas de drainage adĂ©quat, certaines zones continuent de croĂźtre tandis que dâautres vont mourir. Cela va avoir pour effet dâempirer la situation avec les trous dans votre pelouse câest un cycle infernal⊠Si vous pensez que lâeau excessive est Ă blĂąmer pour votre pelouse qui ne pousse pas partout, essayez de mettre en place un nouveau drainage ou essayez de moins arroser votre gazon. Une exposition Ă la lumiĂšre du soleil inĂ©gale Une autre cause courante dâun gazon qui nâest pas uniforme arrive lorsque certaines zones de la pelouse reçoivent plus de soleil que dâautres. Vous le savez dĂ©jĂ les plantes ont absolument besoin de soleil pour survivre et se dĂ©velopper. Le gazon nâĂ©chappe pas Ă cette rĂšgle et nĂ©cessite beaucoup dâexposition au soleil. Si certaines parties de votre gazon sont ombragĂ©es, il se peut que lâherbe ne pousse pas aussi vite. Vous devriez ĂȘtre capable de rapidement repĂ©rer si votre gazon est exposĂ© de maniĂšre inĂ©gale Ă la lumiĂšre du soleil. Recherchez simplement les zones ombragĂ©es qui sont moins exposĂ©es au soleil que les autres. Câest souvent le cas Ă cĂŽtĂ© dâune haie. Mais cela peut aussi ĂȘtre le cas Ă cĂŽtĂ© dâun arbre ou dâune maison. Dans certains cas, il peut ĂȘtre difficile de rĂ©soudre ce problĂšme. Si lâombre est due Ă votre maison, vous ne pouvez pas faire grand-chose. Cependant, vous pouvez essayer dâajouter un peu dâengrais Ă la zone concernĂ©e pour aider Ă compenser le manque de soleil, mais cela ne fonctionnera pas dans tous les cas faites-le dans le respect des dosages recommandĂ©s sur lâemballage de votre produit. La surexposition Ă lâeau et la rĂ©partition inĂ©gale du soleil ne sont pas les deux seules causes des pelouses qui ne sont pas uniformes. En fait, il peut ĂȘtre difficile de dĂ©terminer la raison exacte dâun gazon qui est inĂ©gal, car divers facteurs peuvent ĂȘtre Ă lâorigine du problĂšme. Je vous prĂ©sente, tout de mĂȘme, dâautres causes pour lesquelles votre pelouse ne pousse pas partout au mĂȘme rythme. VoilĂ un autre article qui peut vous intĂ©resser Est-ce que le gazon pousse la nuit ? DiffĂ©rents types de gazon Si votre pelouse se compose de diffĂ©rents types de gazon, vous nâaurez pas un gazon uniforme. Les gazon nâont pas tous le mĂȘme rythme de croissance. Nâutilisez quâun seul type de gazon si vous souhaitez avoir une belle pelouse uniforme. Un engrais mal Ă©pandu LâĂ©pandage dâengrais de maniĂšre inĂ©gale peut entraĂźner la croissance de certaines zones plus rapidement que dâautres, ce qui entraĂźne un gazon qui nâest pas uniforme. Le problĂšme, câest quâon ne sâen rend pas tout de suite compte. Des sols diffĂ©rents dans un mĂȘme jardin Tout comme diffĂ©rents types dâherbe peuvent conduire Ă une pelouse qui grandit de maniĂšre inĂ©gale, il en va de mĂȘme avec des sols diffĂ©rents. Si la composition du sol varie dans votre jardin, les minĂ©raux disponibles pour le gazon ne seront pas uniformes. Essayez de faire en sorte que le sol de votre jardin ait une base uniforme pour ne pas âperturberâ votre pelouse. Tondre lâherbe trop courte Tondre votre pelouse Ă une hauteur trop basse empĂȘche le gazon dâabsorber lâĂ©nergie du soleil et les nutriments essentiels du sol dont il a besoin pour pousser correctement. En gĂ©nĂ©ral, vous ne devez enlever quâenviron le tiers supĂ©rieur du brin dâherbe Ă chaque fois que vous tondez. Dans lâidĂ©al, vous ne devriez tondre votre gazon que lorsque lâherbe mesure environ 9 centimĂštres de hauteur. Une hauteur optimale pour que le gazon se dĂ©veloppe est gĂ©nĂ©ralement dâenviron 6 centimĂštres. En gĂ©nĂ©ral, vous pouvez couper lâherbe un peu plus courte, mais assurez-vous dâavoir au moins 6 centimĂštres dans les zones ombragĂ©es oĂč il est plus difficile pour le gazon de pousser. Un sol trop tassĂ© Câest une autre raison courante. Le gazon peut ne pas pousser correctement si le sol est trop tassĂ©. Il peut y avoir beaucoup de causes Ă sol trop dense. Cela peut arriver si beaucoup de personnes marchent sur le sol. MĂȘme des animaux domestiques peuvent tasser le sol avec le temps. Un autre problĂšme est que la pelouse nâa pas Ă©tĂ© correctement prĂ©parĂ©e avant que les semences de gazon nâaient Ă©tĂ© dĂ©posĂ©es. Si le sol est trop argileux, il peut facilement se compacter, ce qui va entraĂźner un trĂšs mauvais drainage. Avant que le gazon ne pousse, il faut ajouter de la matiĂšre organique dans le sol. Que faire si le gazon ne pousse pas uniformĂ©ment ? Lâun des moyens les plus efficaces pour remĂ©dier Ă un gazon qui ne pousse pas partout, est dâajouter du terreau sur votre pelouse. Mettre du terreau sur la pelouse Vous trouverez de nombreux terreaux efficaces sur internet ou dans votre jardinerie locale. Le compost est Ă©galement un excellent choix, mais lorsque vous le mettez sur votre pelouse, vous ne devez pas mettre plus dâun centimĂštre de compost. Un compost tamisĂ© fonctionne Ă©galement trĂšs bien pour se glisser entre les brins dâherbe. Soyez prudent avec le compost qui se prĂ©sente souvent en gros morceaux, car il peut Ă©touffer votre gazon. Une fois que vous avez trouvĂ© le mĂ©lange que vous souhaitez utiliser, ajoutez un centimĂštre de terreau Ă votre gazon et Ă©talez-le sur votre pelouse en utilisant quelque chose de plat, comme le dos dâun rĂąteau. Le terreau doit bien ĂȘtre Ă©talĂ© sur les âtrousâ dans votre gazon. Continuez Ă travailler le sol jusquâĂ ce quâil soit Ă niveau et que le gazon soit Ă peine visible. Le gazon ne pousse pas uniformĂ©ment ce quâil faut retenir Les pelouses inĂ©gales ne sont certainement pas les plus belles Ă regarder, mais elles ne sont pas une fatalitĂ©. Dans la plupart des cas, des quantitĂ©s excessives dâeau et une exposition inĂ©gale au soleil en sont les principales raisons. Ajoutez simplement un meilleur drainage ou utilisez un engrais supplĂ©mentaire dans les zones ombragĂ©es. Si le gazon ne pousse pas uniformĂ©ment, cela peut Ă©galement ĂȘtre causĂ© par une diffĂ©rence de composition du sol Ă travers votre jardin, par diffĂ©rents types de de gazons ou par une tonte trop courte de votre pelouse. Sil gĂšle encore la nuit, par exemple, mais que vous avez semĂ© de l'herbe le jour ou la semaine prĂ©cĂ©dente, il y a des chances que les jeunes plants d'herbe soient endommagĂ©s. Gardez donc un Ćil sur les prĂ©visions mĂ©tĂ©orologiques avant de sortir dans le jardin ! Quelle est la diffĂ©rence entre le gazon de sport et le gazon de jeu ? Les mĂ©langes de gazon pour le sport sont idĂ©aux La croissance des herbes varie selon le temps. Si elles sont chaudes et humides, la germination a tendance Ă ĂȘtre plus rapide. Par contre, si elles sont froides et sĂšches, la germination peut prendre beaucoup plus de temps. Le temps que le gazon prend pour pousser dĂ©pend du type de gazon, mais aussi de lâentretien qui est fait de la pelouse. Typologie des gazons Lâendroit oĂč vous vous trouvez gĂ©ographiquement affecte le type dâherbe qui poussera. Bien quâil nâexiste aucune rĂ©gion oĂč les tempĂ©ratures soient parfaitement constantes, lâherbe est gĂ©nĂ©ralement classĂ©e en deux catĂ©gories lâherbe de saison fraĂźche ;lâherbe de saison chaude. Lâherbe de saison fraĂźche ou herbe rampante, se propage Ă partir de la couronne de la plante, et les pousses dĂ©veloppent des nĆuds sous terre appelĂ©s rhizomes. Lâherbe de saison chaude ou herbe en broussailles, se propage Ă partir de la couronne de la plante. Les propriĂ©taires doivent tondre la pelouse Ă un niveau plus Ă©levĂ© pour protĂ©ger cette couronne. Comme le gazon de saison chaude brunit en hiver, vous pouvez le sursemer de ray-grass, et il mourra en Ă©tĂ©. Si vous vivez dans les rĂ©gions du nord, du nord-est ou du nord-ouest , vous pourriez envisager un gazon de saison fraĂźche. Les graminĂ©es de saison fraĂźche poussent le mieux dans une fourchette de 15°C Ă 25°C, et comprennent le pĂąturin du Kentucky ;le Ray- grass vivace ;le fĂ©tuque ;le lâagrostide. Leur durĂ©e de pousse varie dâune espĂšce Ă une autre. Le pĂąturin du Kentucky KBG Il est le plus populaire et le plus commun des gazons de saison fraĂźche. Le KBG Ă©tablit ses racines plus rapidement que la plupart des types de gazon dans les bonnes conditions. Vous verrez probablement des pousses peu aprĂšs avoir plantĂ© les graines. Le KBG a un temps de germination court environ 14 Ă 30 jours, et pousse de maniĂšre agressive dĂšs le stade de la graine, ce qui le rend rĂ©sistant si votre pelouse est endommagĂ©e. Sa croissance ralentit sâil fait chaud ou trĂšs chaud, et il aura besoin de plus dâarrosage dans des tempĂ©ratures plus Ă©levĂ©es. Comme il peut supporter le trafic piĂ©tonnier, il est souvent utilisĂ© sur les terrains de golf et les terrains de sport. Le KBG peut ĂȘtre mĂ©langĂ© avec du ray-grass vivace. La fĂ©tuque Il en existe trois variĂ©tĂ©s la fĂ©tuque fine ;la fĂ©tuque Ă©levĂ©e ;la fĂ©tuque rouge. Ces diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s de fĂ©tuques nâont pas la mĂȘme durĂ©e de pousse . La fĂ©tuque fine La fĂ©tuque fine est une herbe qui nĂ©cessite peu dâentretien. Elle tolĂšre lâombre, rĂ©siste Ă la chaleur et Ă la sĂ©cheresse, et est respectueuse de lâenvironnement car elle ne nĂ©cessite pas autant dâhumiditĂ© et dâengrais que les autres types dâherbe. Les graines de fĂ©tuque fine germent plus rapidement que celles du KBG environ 7 Ă 14 jours, sâĂ©tablissent rapidement et poussent en grappes. Elles sont souvent caractĂ©risĂ©es comme ayant les brins les plus fins. La fĂ©tuque Ă©levĂ©e Comme sa sĆur la fĂ©tuque fine, la fĂ©tuque Ă©levĂ©e germe rapidement environ 4 Ă 14 jours et sâĂ©tablit facilement. La fĂ©tuque Ă©levĂ©e pousse en grappes, pousse bien Ă lâombre et rĂ©siste Ă la chaleur et Ă la sĂ©cheresse. La fĂ©tuque rouge Souvent utilisĂ©e sur les pelouses ou dans les lieux publics tels que les parcs et les champs, cette herbe se plaĂźt dans les zones ombragĂ©es. Elle prospĂšre Ă©galement au soleil lorsquâelle est correctement arrosĂ©e. Un trafic piĂ©tonnier faible Ă modĂ©rĂ© est prĂ©fĂ©rable pour ce type de gazon. Les graines de fĂ©tuque peuvent prendre 10 Ă 14 jours pour pousser. Le Ray-grass Il existe deux types de Ray- grass Ray-grass vivace ;Ray-grass annuel. Ces deux types de gazons nâont pas la mĂȘme durĂ©e de pousse. Le Ray-grass vivace Bien quâil ne soit pas aussi agressif que le KBG, le ray-grass vivace germe rapidement environ 5 Ă 10 jours et sâĂ©tablit bien, mais il se propage plus lentement. Il pousse en grappes, avec un pic de croissance pendant les mois frais et modĂ©rĂ©s, et a besoin dâeau et dâengrais pour conserver sa couleur. Le Ray-grass annuel Le ray-grass annuel est souvent utilisĂ© pour sursemer les graminĂ©es de saison chaude afin de fournir un couvert aux pelouses pendant lâhiver. Cette herbe est souvent une solution temporaire et nâest normalement pas utilisĂ©e comme gazon. Lâagrostide Connue plutĂŽt comme une herbe spĂ©ciale difficile Ă entretenir, lâagrostide nâest pas souvent utilisĂ©e pour les pelouses domestiques. Lâagrostide rampante est une variante populaire. Elle pousse de maniĂšre agressive et fait concurrence aux nutriments dont les types de gazon les plus dĂ©sirables ont besoin. Lâagrostide rampante est parfois considĂ©rĂ©e comme une mauvaise herbe. En revanche, si vous vivez dans les rĂ©gions du sud ou du sud-est des Ătats-Unis par exemple, vous devrez envisager des graminĂ©es de saison chaude. Les graminĂ©es de saison chaude poussent le mieux dans les zones oĂč les tempĂ©ratures varient entre 80°F et 95°F et comprennent le bahia ;le Bermude ;le centipĂšde ;lâAugustine,le zoysia. Ces diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s nâont pas la mĂȘme durĂ©e de pousse. Le Bahia Ce type de gazon tolĂšre la sĂ©cheresse et la chaleur, et ne nĂ©cessite pas beaucoup dâarrosage et dâengrais. Le Bahia brunit pendant les mois dâhiver. Il est plus vert pendant sa phase de croissance et de germination, qui dure de 7 Ă 21 jours. Lorsquâil entre en dormance, vous pouvez envisager de le semer avec une herbe de saison fraĂźche comme le ray-grass annuel. Le Bermude Une herbe agressive en termes de croissance, le Bermude germe en 10 Ă 30 jours environ, et peut devenir une nuisance pour les autres types de graminĂ©es, car elle se propage rapidement. Parmi les graminĂ©es de saison chaude, câest celle qui tolĂšre le mieux la chaleur, la sĂ©cheresse, le piĂ©tinement intense et le sel. Elle brunit cependant en hiver. Le Centipede Cette herbe pousse mieux pendant les mois chauds, et est trĂšs sensible aux tempĂ©ratures froides. Le CentipĂšde germe en 14 Ă 21 jours et, bien quâil nĂ©cessite peu dâentretien, il exige une alcalinitĂ© du sol trĂšs spĂ©cifique. LâAugustine RĂ©putĂ©e pour ĂȘtre difficile Ă faire germer, lâherbe de la St-Augustine se prĂ©sente souvent sous forme de gazon ou de mottes Ă poser sur une pelouse. Elle se propage dâelle-mĂȘme une fois quâelle est Ă©tablie. Elle prĂ©fĂšre les climats et les zones humides, et est populaire dans la rĂ©gion de la cĂŽte du Golfe, car elle sâĂ©panouit dans les climats tropicaux. Elle peut survivre Ă lâombre, mais sâĂ©panouit en plein soleil. Le gazon St. Augustine ne peut supporter quâun faible trafic piĂ©tonnier. Le Zoysia Ce type de gazon germe environ 14 Ă 28 jours et sâĂ©tablit lentement. Le Zoysia demande trĂšs peu dâentretien et tolĂšre trĂšs bien la sĂ©cheresse, la chaleur et le piĂ©tement. Lorsque vous vous prĂ©parez Ă planter du gazon sur votre pelouse, il y a plusieurs choses que vous devez garder Ă lâesprit. Lâune de ces choses est la meilleure façon de poser le gazon et la densitĂ© Ă laquelle vous devez disperser les graines de gazon. Si certaines graminĂ©es se rĂ©pandront rapidement et combleront les endroits dĂ©nudĂ©s de votre pelouse, dâautres ne le feront pas. Bien sĂ»r, comme tous les autres propriĂ©taires, vous voulez une belle pelouse Ă©paisse et, Ă ce titre, vous avez besoin que votre herbe sâĂ©tende pour rester verte et sans taches.Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Le ParcMatilda GraylingSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseMatilda Grayling, le Ven 26 AoĂ» - 006 L'air joyeux de la fillette aux cheveux d'argent s'Ă©tait soudain dissipĂ© Ă la question pourtant anodine de Matilda. Elle avait rĂ©pondu d'un ton distant "Je suis nĂ©e en France, en Normandie. J'ai vĂ©cu en Angleterre et vis maintenant Ă Toom, en Irlande. Mon pĂšre est un sorcier qui travaille dans les affaires. Et ma MĂšre elle... ne travaille plus..." Les mots semblaient lui peser. Ainsi elle Ă©tait d'origine française, encore une ! DĂ©cidĂ©ment ils Ă©taient nombreux Ă Poudlard. Mais elle avait vĂ©cu en Grande Bretagne toute sa vie, ce qui expliquait son elle vivait Ă Toom. Matilda ne s'attarda pas sur cette ville Irlandaise dont elle ne connaissait pas la son pĂšre Ă©tait un sorcier. Et sa mĂšre alors ? Est-elle moldue ? Connaissait-elle alors l'existence du monde magique ? Risquait-elle d'en parler aux autres moldus ? Pourquoi le pĂšre qui Ă©tait sorcier Ă©tait-il avec une moldue ?Ainsi il travaillait dans les affaires. Quelles genres d'affaires ? Ce n'Ă©tait pas une question qui intĂ©ressait rĂ©ellement sa mĂšre ne travaillait plus. L'effort qu'avait fait Elise pour prononcer ces derniers mots Ă©tait intriguant. La Serdaigle pensa d'abord Ă l'Ă©ventuelle mort de la mĂšre de son interlocutrice. Cela expliquerait pourquoi son visage s'Ă©tait soudain assombrit, sa mĂšre n'Ă©tait peut-ĂȘtre mĂȘme pas moldue mais simplement plus une sorciĂšre pour que la fillette ait besoin de le prĂ©ciser. Ou bien peut-ĂȘtre que la qualitĂ© de moldue dela mĂšre l'avait poussĂ© Ă commettre un acte horrible qui l'avait envoyĂ© en avait posĂ© sa question sans grand intĂ©rĂȘt, uniquement pour engager la conversation, en espĂ©rant ne pas trop s'Ă©tendre sur un sujet qui ne l'intĂ©ressait pas. Pourtant la rĂ©ponse de la petite blonde avait piquĂ© sa curiositĂ©. Elle voulait en savoir plus, mais fut prise de court par le renvoie de sa propre interrogation sans intĂ©rĂȘt "Et... Hum... Toi tu viens d'oĂč ?- Moi je vis prĂšs de Londres, j'ai toujours vĂ©cue lĂ bas, dans un quartier de sorciers. Mes parents aussi sont des sorciers, Ils tiennent un magasin de meubles magiques. Et puis j'ai une grande sĆur et un grand frĂšre" rĂ©pondit Matilda regard recroisa celui de la Gryffondor Ă prĂ©sent allongĂ©e sur la pelouse. Elle avait l'air pensive. Les questions de Matilda lui brĂ»laient les lĂšvres. La timiditĂ© de la fillette l'empĂȘchait de les laisser sortir, ainsi que la gĂȘne de l'autre petite fille face Ă la question prĂ©cĂ©dente qui avait semblĂ© indiquĂ© qu'elle ne souhaitait pas partager les dĂ©tails de sa vie avec Matilda. Sans doute ne l'estimait-elle pas digne de confiance. Peut-ĂȘtre n'y voyait-elle aucun intĂ©rĂȘt puisque la Serdaigle Ă©tait trop ennuyeuse pour mĂ©riter sa conversation. MĂȘme la fleur qu'elle dĂ©membrait Ă©tait plus captivante. Ce fut presque compulsivement qu'elle reprit son air joyeux pour faire part Ă Matilda de l'odeur exquise du cĆur de fleur qu'elle venait de porter Ă son nez. La sorciĂšre bleue et bronze Ă©carquilla les yeux de surprise et d'incomprĂ©hension. Bon trĂšs bien, puisque le sujet des origines Ă©tait clos, parlons de la flore du parc."Ah oui ? je veux bien sentir. dit Matilda plus par politesse que par rĂ©el effet la fleur sentait bon. Mais cela ne mĂ©ritait pas tant d'excitation."C'est vrai qu'elle sent bon. On devrait en parler au monde entier." dit elle d'un ton ironique, totalement blasĂ© en s'allongeant dans l'herbe Ă cĂŽtĂ© de sa camarade sans la quittĂ© de son regard percent dans lequel on pouvait y voir en plus une lueur taquine. Elle Ă©tait marrante cette fille lunatique qui s'extasiait pour tout et n'importe quoi et qui gardait une part de mystĂšre sur son passĂ©. Matilda en saurait plus, lorsque le moment serait plus opportun. Elise GreenGryffondor Re Dans le jardin, sur la belle pelouseElise Green, le Ven 2 Sep - 2052 Entre ciel et terre. Entre flore et mer. Le vent dans mes cheveux argentĂ©s. Je me remĂ©more une chanson française. Elle sort de mes pensĂ©es, passe outre mes cordes vocales et entre mes lĂšvres... Et s'Ă©tire vers le ciel. A travers les nuages. Les murmures forment des paroles de plus en plus distinctes... Allez viens, j't'emmĂšne au vent... Balancement de tĂȘte, dans l'herbe, les pieds faisant des mouvements saccadĂ©s. Ma compagne d'un jour sent la fleur, me prenant certainement pour un folle. C'est vrai qu'elle sent bon. On devrait en parler au monde entier. »Je hoche la tĂȘte alors qu'elle s'allonge Ă mes cĂŽtĂ©s. Sans me quitter des yeux. Sans cesser de me regarder comme une bĂȘte curieuse. Je tourne brusquement la tĂȘte, l'observe, la jauge et lui relance un sourire. Je soupire doucement. L'air frais se balade sur mon visage, entre mes cheveux de neige. Contraste entre chair chaude et cheveux glacĂ©s. Je repose mon regard plein de gazon sur Matilda. Elle est intrigante cette fille. Elle me suit dans ma bĂȘtise, dans ma lĂ©gĂšretĂ©. Ou alors elle a juste peur que je sois complĂštement timbrĂ©e et fait mine d'ĂȘtre dans le mĂȘme dĂ©lire que moi de peur que je ne lui saute dessus... Ahah, voilĂ qui est amusant. Un papillon azurĂ© volette au dessus de moi, passant outre un nuage qui semble si proche et si loin vu d'ici. Vu d'en bas. Il se rapproche, j'arrĂȘte de respirer. Un instant, il se pose sur mon nez, puis s'envole vers Matilda. Je tourne lentement la tĂȘte vers la jeune fille, le papillon se pose sur son front, puis reprend sa route. Planant, battant des ailes. De fleur en fleur. Je me place sur le flanc, la main contre l'oreille, de façon Ă voir mon interlocutrice. Je lance alors Qu'est ce que tu veux faire plus tard, Matilda ? Moi, je ne sais pas trop. Certainement quelque chose d'important... J'aime diriger. Commander. »Mon regard se perd dans le vague, sur le gazon qui nous sĂ©pare. Oui, quelque chose d'important. Entre reprendre l'entreprise de PĂšre ou... Travailler au ministĂšre, pourquoi pas ? C'est un bon choix. Et c'est pas trop mal payĂ©. Mais les abysses m'appellent de plus en plus, les secrets, la magie oubliĂ©e, les mĂ©andres obscures des pratiques interdites... J'ai un lĂ©ger soupir. Le Choixpeau m'a t-il envoyĂ© dans la bonne maison ? Ne serai-je pas plus Ă ma place parmi les Serpents ? Non, je me plais chez les Lions. Il faut simplement que la Lionne qui sommeille en moi se rĂ©veille. Ca ne va pas tarder, non, pas tarder. Attendre, encore. Ne pas perdre patience. Jamais. Matilda GraylingSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseMatilda Grayling, le Dim 18 Sep - 2021 Le son doux du vent dans les feuilles des arbres, le lit de verdure moelleux, la chaleur agrĂ©able du soleil et sa lumiĂšre qui se reflĂ©tait dans ses cheveux ainsi que dans ceux de sa camarade, cet instant harmonieux apaisait Matilda. Elle se laisserais bercĂ©e ainsi durant des heures, Ă ne penser Ă rien d'autre qu'Ă ce qui l'entoure. La fillette Ă©tait toujours allongĂ©e sur le cĂŽtĂ©, de maniĂšre Ă voir sa camarade si elle s'adressait Ă elle, mais son regard s'Ă©tais perdu dans le vague jusqu'Ă ce qu'un battement d'aile vienne la sortir de sa somnolence. Le petit insecte se posa sur le nez de la Gryffondor avant de se diriger vers le front de la Serdaigle. Ses petites ailes bleues sâarrĂȘtĂšrent de battre un instant, se dĂ©voilant au regard de Matilda qui louchait difficilement pour les observer. S'il avait Ă©tĂ© loin d'elle, elle aurait tentĂ© de s'approcher dĂ©licatement pour voir sa robe de plus prĂšs. A prĂ©sent qu'il Ă©tait au plus proche, il Ă©tait impossible de l'observer distinctement. Elle pouvait Ă peine voir sa couleur en faisant effectuer Ă ses yeux une acrobatie qui risquait de lui donner la migraine si elle continuait. Ce n'est que lorsque de nouveau s'envola vers d'autres cieux qu'elle pu le voir nettement mais pendant un laps de temps beaucoup trop restreint. Encore une leçon Ă retenir probablement. On ne voit les choses clairement que lorsqu'elles sont hors de portĂ©e. La petite blonde qui se tenait toujours devant elle imita sa position pour l'observer dans la nouvelle conversation qu'elle engageait "Qu'est ce que tu veux faire plus tard, Matilda ?" Dit-elle de maniĂšre tiens ! Bonne question. Question que La petite sorciĂšre Ă©vitait de se poser, lassĂ©e de ne jamais trouver de rĂ©ponse."Aucune idĂ©e, dit elle rapidement avant d'ajouter en souriant Je verrais bien si je trouve ma vocation au cours de la scolaritĂ©. Et toi ?- Moi, je ne sais pas trop. Certainement quelque chose d'important... J'aime diriger. Commander." rĂ©pondit sa camarade, excitation du dĂ©but semblait s'ĂȘtre dissipĂ©e. VoilĂ qui Ă©tait intĂ©ressant Elle Ă©tait ambitieuse et aimait diriger. Les qualitĂ©s qui avait manquĂ© Ă Matilda pour l'envoyer Ă Serpentard n'avaient pas suffit non plus Ă Elise pour faire partie des Verts et argents. Cela n'avait pas l'air d'affecter ses projets pour autant, si l'on pouvait les nommer se laissa tomber sur le dos et plaça la main gauche sous sa tĂȘte et la main droite sur le ventre avant de dĂ©clarer "Alors moi c'est pas du tout mon truc la direction. Je n'aurais aucune crĂ©dibilitĂ© en chef, et ce serait trop de responsabilitĂ©s pour moi je pense, j'aurais toujours trop peur de mal faire" dit elle avec un lĂ©ger rictus Ă la fin de sa elle se tourna Ă nouveau vers sa camarade et plaisanta d'un ton faussement solennel "Tu sera Ministre de la Magie, et moi je serais vendeuse de meubles dans le magasin de mes parents."Son ton caricatural confirma l'une de ses peurs qu'elle ne voulait pas avouer puisqu'elle savait ĂȘtre sa destinĂ©e Devenir comme ses parents. Elise GreenGryffondor Re Dans le jardin, sur la belle pelouseElise Green, le Dim 9 Oct - 1843 Wow, j'ai du retard noooon sans blague ? ! Milles excuses... - Alors moi c'est pas du tout mon truc la direction. Je n'aurais aucune crĂ©dibilitĂ© en chef, et ce serait trop de responsabilitĂ©s pour moi je pense, j'aurais toujours trop peur de mal petite camarade rĂ©ajuste sa position dans l'herbe tendre. Est-elle timide ? C'est bien ce que je pensais, mais je n'ai rien dit. C'est vrai qu'elle fait un peu rĂ©servĂ©e mais... Bon, pour commander, il ne faut pas avoir ce dĂ©faut. Enfin, ça n'en est pas un vĂ©ritable. Disons juste qu'il est partiellement handicapant. Je ne suis pas comme elle. Je ne suis pas rĂ©servĂ©e. La preuve ! Je suis allĂ©e vers elle. Inconnue Ă mes yeux. Je tourne la tĂȘte et sourie Ă ma camarade. Je fixe le ciel, alors qu'elle Tu sera Ministre de la Magie, et moi je serais vendeuse de meubles dans le magasin de mes Ă©clat de rire m'Ă©chappe. Son ton est cynique. Je ne sais pas trop si elle veut rire, ou si elle est sĂ©rieuse... Je rĂ©plique alors lentement, en essayant de paraĂźtre la plus naturelle Ministre de la Magie... Je ne sais pas. Mais en tout cas je ne deviendrai jamais comme mes parents. Ils sont un peu... AustĂšres.. Enfin, surtout MĂšre. PĂšre est un peu plus laxiste. En mĂȘme temps, il passe son temps Ă l'Ă©tranger. Je ne le vois pas souvent. Quand j'Ă©tais plus jeune, nous Ă©tions rassemblĂ©s tous les jours mais maintenant la vie est un peu plus triste. Je tourne la tĂȘte vers elle et m'empresse d'ajouter, sur un ton qui se veut rassurant - Mais je suis heureuse malgrĂ© tout ! Je me lĂšve soudain, me plante devant elle et l'observe, les mains sur les hanches. Depuis combien de temps suis-je lĂ ? Je me suis levĂ©e trop vite. La Terre tourne trop vite, sous mes pieds. J'ai un sourire, puis je lance Ă Matilda - Il est temps que j'y aille. Ce fut un plaisir ! J'espĂšre qu'on se recroisera un de ces quatre ! A plus Matilda !Je lui adresse un signe de la main et un clin dâĆil, puis me dirige en silence vers le chĂąteau. Quelle belle journĂ©e !Fin du RP pour moi Matilda GraylingSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseMatilda Grayling, le Dim 13 Nov - 131 Le rire carillonnant de Elise fit sourire Matilda Ă son tour. Sa camarade dit finalement d'un ton neutre qui ne parvenait pas Ă dissimuler un sentiment plus profond "Ministre de la Magie... Je ne sais pas. Mais en tout cas je ne deviendrai jamais comme mes parents. Ils sont un peu... AustĂšres.. Enfin, surtout MĂšre. PĂšre est un peu plus laxiste. En mĂȘme temps, il passe son temps Ă l'Ă©tranger. Je ne le vois pas souvent. Quand j'Ă©tais plus jeune, nous Ă©tions rassemblĂ©s tous les jours mais maintenant la vie est un peu plus triste."Encore cette distance lorsqu'elle parlait de ses parents. Encore ce poids qui semblait peser sur son petit cĆur qui entrait Ă peine dans l'adolescence. Comme Matilda. Les relations familiales Ă©tait Ă©tranges chez tout le monde, plus ou moins agrĂ©ables, et leur Ăąge ne faisait qu'accentuer le sentiment qu'elles Ă©prouvaient pour leurs parents. Matilda se sentait dĂ©calĂ©e, dĂ©tachĂ©e de sa famille. Elle ne parvenait pas Ă distinguer les sentiments qu'Ă©prouvait l'autre premiĂšre annĂ©e Ă ses cĂŽtĂ©s, mais il y avait sans doute une certaine distance entre elle et ses parents Ă©galement, le fait de les appeler "MĂšre" et "PĂšre" le trahissait. Matilda aurait aimĂ© en savoir plus."Mais je suis heureuse malgrĂ© tout !" dĂ©clara son interlocutrice prĂ©cipitamment avant de se lever est temps que j'y aille. Ce fut un plaisir ! J'espĂšre qu'on se recroisera un de ces quatre ! A plus Matilda !- Salut Elise ! Je suis contente qu'on ait parlĂ© aussi, on se recroisera sĂ»rement, Ă bientĂŽt !" rĂ©pondit Matilda en s'asseyant dans l' fillette lui fit un signe de tĂȘte avant de tourner le dos Ă Matilda pour se rendre au chĂąteau, ses cheveux d'argent s'envolant au grĂ© du vent. DrĂŽle de personnage. Sympathique, un peu excentrique, repris son manuel en quĂȘte d'Ă©tude, comme si la conversation n'avait pas eut lieu, alors qu'elle avait fait prendre une toute autre tournure Ă la journĂ©e de la petite Serdaigle qui avait commencĂ©e avec la boule au ventre par peur d'ĂȘtre persĂ©cutĂ©e, c'est le cĆur lĂ©ger de s'ĂȘtre peut-ĂȘtre fait une nouvelle amie qu'elle se terminerait. Non, ne nous emballons pas, elles avaient juste discutĂ©es dans le parc, pas Ă©changĂ© les paroles de l'amitiĂ©.[Fin du RP]HRPG Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Ven 30 DĂ©c - 1122 RP privĂ© avec Gabrielle PhoenixMusique...Qu'avais je demandĂ© ?Qu'aurais je pus faire ?Tant de question qui me passe par la mâobscurcissent les les retourne encore et j'ai beau essayer je ne parviens n'arrive pas Ă fichue rĂ©ponse Ă mes doucement les larmes se mettent Ă yeux regard forme comme un voile devant mes toile que je ne souhaite que pouvoir rĂ©ellement y ? Qu'ais je fais ?Serait-ce une punition ?Je sais que je la cause des douleurs que j'ai ce monde, tant de gens qui ne m'avait rien je suis seule perdu le chemin tout tracĂ© qui dĂ©filait sous mes voulu me une nouvelle je me suis maintenant j'erre la caresse du soleil qui se est la rosĂ©e sous mes j'avance sans infinie de mes d'Ă©ternitĂ© qui se brise Ă mes ne suis plus, ai-je jamais Ă©tĂ© ?Je sens mon sang cĆur battre et ma poitrine se vis du est-ce depuis que je m'en suis rendu compte ?Depuis que je ne suis plus qu'une des faut que je me je me suis dĂ©jĂ tellement rien n'importe n'y a plus personne pour m' rendre la lumiĂšre que j'ai tant vie est cruelle et ne fait pas de pour les gens comme abandonnĂ©. C'est sans doute ce que je n'ai plus la force de me l'envie de je habitude c'est n'ai pas envie de me tout de si je n'ai plus de si je ne suis plus que il reste quelque sentiment longtemps simple lumiĂšre brillant dans le suffirait de la le cauchemar prendrait bien ne sais plus. Peut-ĂȘtre que suis-je dĂ©jĂ en plein tout j'ai toujours vĂ©cu dans lâ des des je demandĂ© ?Je ne voulais qu'une enfance n'Ă©tait pas trop espĂ©rerâŠMais non, c'Ă©tait bien trop a fallu qu'ils me briser, me cela leur a-t-il apportĂ© ?Une fillette sans de de gĂ©rer sa ont fait naĂźtre le poisson de la haine en moi. Et maintenant, aujourd'hui je ne suis plus qu'un une arme, une lame ne fais pas de cadeau, ce n'est pas ma dois Ă©vacuer mon la douleur est tout ça fait moi, je me consume petit Ă dois faire mal et couler le sang de ma lame si de mes ne peux pas en je n'ai pas le ne peux pas trouver la bonne avant qu'ils ne finissent par m'envoyer Ă lĂ tout sera suis faut que je m'en la lumiĂšre est si n'est pas faute d'avoir essayĂ© de l' y a bien des gens qui ont voulu m' poufsouffle au regard de pu bonheur Ă©tait prĂ©sent et si jaune m'a pris par la que tout nous m'a l'ombre est que j'appelle homme qui aurait tant dĂ» m' nous a a doucement pointĂ© sa baguette sur d'un sortilĂšge m'a offert une once de centuple de ce que j'avais pu ressentir jusqu' hurler, ne sert Ă pour pour eu mal, si mot pour ne pas blessure, ouverture dans ma robe blanche imbibĂ©e de a Ă©crit ce que je vois toujours Ă mon ? lui ? cause de lui ? que je l'aimais ? peut bien couler la douleur elle cesse en ne me quitte pourquoi » n'ont jamais de pour moi en tout m'assieds dans la marrĂ©e de chatouille doucement mes lentement mes yeux se se rouvrir aussi ne veux pas Ă cet mes paupiĂšres sont combien de temps n'ai-je pas dormi ?Combien de nuits blanches puis-je compter ?Trop pour rĂ©sister au pour ĂȘtre encore en ĂȘtre encore mourir de fatigue ?LittĂ©ralement ?Tomber et ne plus ce est cette fille ?Ce corps dans lequel je suis enfermĂ©e .Ce n'est plus ne suis plus une simple contacte mouillĂ©s des vĂ©gĂ©taux contre mes meurtrie par le nombre de chĂątiments jâ quelque chose qui n'arrivera personne qui n'existe l'espoir est toujours je ne peux que me plier Ă sa patienter sans guide, une lanterne sur le ai tellement je le sais tout au fond de une fois personne ne voudrait aider quelqu'un comme moi ?Une personne brisĂ©e au-delĂ de ce que l'on peut n'ai sans doute plus d' j'ai besoin de ne pas continuer d' Ă©dition par Ellana Lyan le Sam 7 Jan - 1415, Ă©ditĂ© 1 fois Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Lun 2 Jan - 1147 Bon bah... j'ai Ă©tĂ© bien inspirĂ©! Oups... Je retourne aussitĂŽt bloquer! Le temps des fĂȘtes nâĂ©tait plus trĂšs loin, le temps de son retour approchait, ce quâelle avait hĂąte ! Ces quelques mois passĂ©s au chĂąteau ne sâĂ©taient pas particuliĂšrement mal passĂ©s, disons simplement quâils sâĂ©taient dĂ©roulĂ©s, sans lui demander son avis. Elle avait fait quelques rencontres, rien de trĂšs marquants cependant, des Ă©lĂšves Ă droite, Ă gauche, de sa maison et dâautres. Elle se concentrait surtout sur les cours, et le passage de ses prĂ©vu en fin dâannĂ©e. Elle passait le plus clair de son temps dans la tour des serdaigles, oĂč elle se sentait plus Ă lâaise quâen premiĂšre annĂ©e. Elle avait enfin compris quâelle nâavait pas le tempĂ©rament de feu des gryffondors, quâelle Ă©tait appelĂ©e Ă dĂ©velopper dâautres capacitĂ©s. Elle essayait dâen apprendre le plus possible, Ă travers la lecture notamment, quand la bibliothĂšque de chĂąteau ne lui suffisait pas, elle nâhĂ©sitait pas Ă passer une tĂȘte chez Fleury et Bott. Elle en profitait pour se promener sur le Chemin de Traverse ce quâelle aimait faire depuis matin lĂ , lâadolescente avait traĂźnĂ© au lit durant plusieurs dizaines de minutes, son premier cours de la journĂ©e nâĂ©tant quâen fin de matinĂ©e. Elle descendit Ă la grande salle pour prendre son repas, seule comme Ă son habitude. Cela ne la dĂ©rangeait pas plus que ça, elle nâavait ainsi pas Ă suivre des conversations la bouche pleine, et Ă faire face aux Ă©lĂšves matinaux tout joyeux dĂšs l'aube, ce qui nâĂ©tait pas, vous lâaurez compris, son cas. La grande salle Ă©tait quasi vide, comme la plupart des Ă©tudiants Ă©taient dĂ©jĂ en cours. Son repas fini, elle jeta un coup dâĆil Ă sa montre, il lui restait encore du temps avant son cours et elle Ă©tait Ă jour dans son travail. Petit soupir. De satisfaction ou dâennui ? Comment combler ce temps ? Ce temps Ă dĂ©penser, Ă consommer, Ă perdre... Certains en rĂȘveraient, seraient prĂȘt Ă la payer pour quelle leur concĂšde quelques-unes des longues minutes de rĂ©pit dont elle disposait dans la journĂ©e. Gabrielle Ă©tait simplement organisĂ©e, studieuse, et mine de rien lâabsence de relation amicale lui libĂ©rait beaucoup de temps dont elle jouissait seule. Elle attrapa une veste dĂ©cidĂ©e Ă aller faire un tour dans le parc qui ne devait pas ĂȘtre surpeuplĂ©e Ă cette heure. En sortant, elle sentit lâair froid, mais pas glacial, sâengouffrer dans ces poumons. Un temps de printemps canadien songea-t-elle amusĂ©e. Son rĂ©fĂ©rentiel climatique Ă©tait bien perturbĂ© depuis son arrivĂ©e sur le sol anglais. Elle se mis Ă marcher tranquillement, et dĂ©cidant tout de mĂȘme de rentabiliser son temps, elle dĂ©cida de prĂ©parer mentalement une liste de prĂ©sents quâelle comptait offrir Ă ses proches. CâĂ©tait incroyable ce que lâactivitĂ© libĂ©rait la crĂ©ativitĂ©. Vous connaissez tous ce syndrome de la page blanche, nâest ce pas ? Si, si vous savez bien, ce moment horrible oĂč assis face Ă une feuille rien ne vous vient. Câest la panne sĂšche dans votre tĂȘte. Alors que quand vous gambadez dehors, curieusement vous avez dans la caboche de quoi Ă©crire un roman. Ce petit syndrome touchait aussi souvent notre aiglonne, câest pourquoi elle avait choisi une alternative autre que lâassise derriĂšre un bureau. Si seulement en promenade elle avait une plume et un parchemin volant Ă ces cĂŽtĂ©s en permanence ! Elle tacha donc dâĂ©voquer plusieurs idĂ©es tout en flĂąnant entre les pelouses. Elle avait du temps libre, encore, en fin de semaine quâelle avait prĂ©vu de consacrer Ă ses achats Ă PrĂ©-au-lard, elle trouverait sans doute de quoi ravir ceux qui lui Ă©taient chers. Un sanglot vint interrompre le cours de ses pensĂ©es. Mais dâoĂč provenait-il ?D'une silhouette de dos, posĂ©e sur la marrĂ©e verte qui luisait dâun reflet nacrĂ©. Le sol devait ĂȘtre mouillĂ©, pourtant ladite silhouette ne semblait guĂšre sâen soucier, accablĂ©e, accaparĂ©e par sa douleur. Une douleur qui semblait impossible Ă contenir en elle, puisquâelle la laissait sâexprimer dans son corps. Ce corps de jeune fille. Blonde. Une chevelure platine retenue par un serre-tĂȘte. Gabrielle fronça les sourcils, cela nâĂ©tait pas sans lui rappeler une criniĂšre identique dĂ©couverte au cours dâĂ©tudes des moldus, il y a une dizaine de jours. Aujourd'hui, maintenant, câĂ©tait le bon moment. Elle sâapprocha de quelques pas, lâautre Ă©lĂšve devait surement lâavoir entendu approcher, marquer une pose puis se diriger vers elle. Ne voulait pas trop la surprendre ou avoir lâair menaçante, l'aiglonne se plaça face Ă l'autre adolescente, en maintenant une certaine distance pour ne pas violer lâintimitĂ© de cette derniĂšre. Elle sâaccroupit Ă son niveau pour ne pas avoir lâair de la lui dire maintenant ? " Salut, comment vas-tu ? " Mal forcĂ©ment, ça se voit bien ! " Quâest ce qui ne va pas ? " Peut-ĂȘtre quâelle nâa pas envie que tu le saches ! " As-tu besoin de quelque chose ? " Pas mal⊠" Besoin " mmh bof en fait, elle risque de se sentir redevable. Bon, on va essayer quelque Salut⊠fit alors la bleu et bronze dâune voix douce, ça nâa pas lâair dâaller constat. RĂ©action dĂ©nuĂ©e dâintĂ©rĂȘt en apparence, mais que faire dâautre ? Cela laissait la blondinette libre de tout, de confirmer ou dâinfirmer la supposition, Gabrielle ayant pris garde de ne pas formuler dâaffirmation pour ne pas la froisser. Si elle refusait sa compagnie, la brunette ne serait pas contrariĂ©e, certaines personnes nâavaient pas besoin des autres quand elles exprimaient leurs peines⊠dans un premier temps. Par la suite, la serdaigle pensait quâun soutien humain Ă©tait nĂ©cessaire, mĂȘme sâil Ă©tait si dur parfois de reconnaĂźtre en avoir besoin. Etre fort ne signifie pas ĂȘtre seulâŠDerniĂšre Ă©dition par Gabrielle Phoenix le Ven 6 Jan - 1145, Ă©ditĂ© 1 fois Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Mar 3 Jan - 1113 Musique...Une musique Ă mes air fait couler l' brĂ»lantes sur mes de tenter vainement de les ont leur place mes yeux et le un visage attitude de n'attends plus de ce vent passe sur mon brise fait un instant voler mes mon visage de douleur au maman, ce que tu as fait ?Une mĂšre aussi aimante que ne parle plus de ma de cette autre qui porte tous les mĂšre qu'attends-tu de moi ?Que cherches-tu dans ma souffrance ?N'en as tu pas assez ?De me voir assise comme ça ?BrisĂ©e comme je l'ai jamais ne prends-tu plus soin de moi ?Ne suis-je plus un de tes enfants ?Une de ces filles que tu chĂ©ris me tournes-tu le dos ?J'ai besoin de toiâŠMamanâŠJe suis seule et jâ la chance la vie puisse me il n'y a DĂ©truisez-moi alorsâŠBrisez-moi puisque vous ne pouvez ne savez plus m' reconnaĂźtre, me vous l'avez pourtant toujours ne m'oubliez vous en je ne sois pas qu'une tant d' moi exister encore un je marque mon temps de quelques reprenez- tel en est votre en votre de cet affreux je ne cherche plus un Ă©lan d' soupçon de ne l'est plus quand seule compte la a perdu sa besoin de quelqu' me berce et sĂšche mes t'en supplie de tous mes ne compte plus mes pardonne-moi et je sortirais de ma besoin de toi, Salut⊠ça nâa pas lâair dâaller porte mon regard sur la quelqu'un tant dĂ©sirer qui vient de me plus je la fille qui mĂȘme cours que l'enfant qui ce un ange ?Est-ce elle que tu mâenvoies ?Non. Les anges n'existent c'est une oiseau ça quand c'est clouĂ© au la petite elle n'est pas comme ce doit ĂȘtre fĂ©e qui est venue se pour me juste que ce n'est pas un crĂ©ature de l' alors nous serons du moins elle aussi fichue l' non je ne crois devant le regarde Ă travers le forment mes meurs d'envie de lui c'est elle l'ange que l'on m'a n'est pas comme si la magie n'existait je me demande tout de ce n'est pas, un simple BonjourâŠOn s'est dĂ©jĂ vue je priori dans un que fais-tu lĂ ?Je ne cherche plus Ă Ă qui masque est longtemps j'ai vouloir me forte, sans ne suis plus une une gamine on a coupĂ© les qu'elle juste Ă se souffrance me pris dans ses tout cela n'est qu' les cauchemars ne me laissent aucun tellement pour m'endormir sans rĂȘver de c'est impossible sans cesse reviennent les les a associĂ© Ă de l' que je me sente fois que je fichu que j'ai qu'en permanence je genre de subir ça Ă son propre je suis perdue et je un ocĂ©an de mer de doucement mon embarcation je me vois tomber dans les je ne me dĂ©bats n'ai plus la force. Plus le me laisse comme un vers les eaux fermer les yeux mais quelque chose m'en qui a parlĂ© me tient son regard, de ses mâempĂȘche de tomber comme je ne peux pas encore, ça ne serait pas finir avoir pu une bleue non quand mĂȘme une on y je reste assise ne sombre sol mouillĂ© me glace les je n'ai que faire de suis bien la mort et la le matin, le finirais plus viendra le quand elle sera sera mieux Vois-tu ? Comprends-tu ?As-tu dĂ©jĂ Ă©prouver ?Ce sentiment d'ĂȘtre ne plus comme une Ăąme sans tourner dans un cercle ne plus rien un ange petit bleu ?Un oisillon comme Mary ?Descendue tout droit des rendre un sens Ă ma ne me prend pas pour si je ne suis pas tout Ă fait saine d' te vois avec une bon, la regarde un ça ne fait pas de bien un n'est pas possible pire si je me je Ă perdre ?N'est-ce pas plutĂŽt un compliment ?Si j'en suis presque autant qu'elle le prenne n'a pas l'air je fais ce qu'il me chante. Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Dim 22 Jan - 1850 Mille excuse pour ce retard choupette, j'espĂšre qu'en lisant ce que tu m'as inspirĂ© tu vas me pardonner!La jeune fille rĂ©vĂ©la son visage baignĂ© de larmes Ă la serdaigle. Elle ne semblait pas en avoir Bonjour⊠rĂ©pondit-elle dâune voix effacĂ©e. Si sa bouche avait des yeux, ils seraient probablement perdus dans le vague, au loin. - On s'est dĂ©jĂ vue je crois. Ă priori dans un cours. Mais que fais-tu lĂ ? questionna-t-elle vent froid venait faire rougir ses joues ruisselantes, laisser sa marque, sa brĂ»lure sur la peau pĂąle du serpent. Ses yeux sâagrippĂšrent Ă ceux de lâaigle. Comme une sensation de dĂ©jĂ Vois-tu ? Comprends-tu ? As-tu dĂ©jĂ Ă©prouver ? Ce sentiment d'ĂȘtre perdu. Oui⊠- De ne plus exister. D'errer comme une Ăąme sans vie. ComplĂštement dĂ©laissĂ©e. Je lâai dĂ©jĂ vĂ©cuâŠ- De tourner dans un cercle infini. De ne plus rien mâen souviens comme si câĂ©tait hierâŠGorge qui se sert. Mots qui frappent juste. En pleine cible. En plein cĆur. Qui rĂ©sonnent dans les trĂ©fonds de son ĂȘtre. Douleur va renaĂźtre. Poids grandissant au creux de son estomac. Une pierre qui lâentraine vers la terre, qui lâoblige Ă plier le genou. Quâelle tente de refouler, dâoublier. Mais ces mots viennent lâ rajouter une couche, une Ă©paisseur, une que lâaigle est Ă terre avec le serpent dans la cavaliĂšres dĂ©sarçonnĂ©es de leurs quilles renversĂ©es par la anges dĂ©chus. Peut ĂȘtre viennent-elles du mĂȘme royaume cĂ©leste?Elle aurait aimĂ© porter coups et et bleus ont disparus mais les mots rĂ©sonnent des couteaux dans son de sang, pas de viennent parasiter sa ce nâest pas son tour, ce nâest pas son moment. Sa peine, ses douleurs ont Ă©tĂ© Ă©pongĂ©es. MĂȘme si les rĂȘves en sont un rappel Es-tu un ange petite bleu ? Un oisillon comme Mary ? Descendue tout droit des cieux. Pour rendre un sens Ă ma ? Ma douce, ma seule amie ? Puis-je encore parler dâelle en ce terme ? Mary, est-ce Ă cause de mon absence quâelle a⊠dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©e, quâelle a laissĂ©e la porte ouverte Ă Folie ? Si je lâavais comblĂ©e de ma prĂ©sence, les choses auraient Ă©tĂ© si diffĂ©rentes. Sentiment de culpabilitĂ© immonde. NausĂ©es Ă ses mâen veux. Je me dĂ©goute. Jâexerce ma nâĂ©tais pas assez forte pour moi-mĂȘme, quâaurais-je pu faire pour toi, innocente Mary ?Et toi sinople blessĂ©e, que puis-je faire pour t'aider?Je n'ai pas mĂȘme trouvĂ© le sens de ma vie, comment puis-je t'aider Ă te rĂ©aliser?- Non ne me prend pas pour folle. MĂȘme si je ne suis pas tout Ă fait saine d'esprit. Je te vois avec une aurĂ©ole. Alors bon, tant ? Non, tu ne semble pas lâĂȘtre. A lâagonie, osera-tu lâadmettre ? Dans tes yeux, je vois ton ĂȘtre que tu laisses apparaĂźtre, peux-tu devant moi te le permettre ?Un dans les cĆurs face Ă lâ tâentends. Tu as tellement besoin dâĂȘtre plus que tâĂ©coute. Tu as tellement besoin dâĂȘtre Ă©coutĂ©eJe te vois. Tu as tellement besoin dâĂȘtre vue telle que tu de le vois en sont ceux qui en sont puis-je ?En utilisant un besoin de mot pour traduire ce qui se corps parle pour elle semble avoir soif de paroles, de pommade. Il est trop tĂŽt pour venir lâĂ©taler sur ses Ă elle a premiers Ă©tape sĂ©curiser le lieu. La blessĂ©e et la secouriste ne craignent rien de plus en cet endroit que la mĂąchoire du vent, prĂȘte Ă leur donner une morsure Ă©tape Ă©valuer lâĂ©tat de la victime. Mauvais. Au Ă©tape trouver l'aide nĂ©cessaire. Moi. Je ne suis pas lĂ avec toi. Je suis lĂ pour toi. JâĂ©luderais donc sa premiĂšre Ă©tape donner les premiers soins. Commencer par laisser sâexprimer la souffrance. La douleur. Et la reconnaĂźtre. Elle est lĂ . IndĂ©niablement. Vouloir rassurer trop vite la dĂ©licate tĂȘte blonde pourrait produire lâeffet inverse, elle pourrait y voir une nĂ©gation, un refus dâacceptation de sa secoue doucement la tĂȘte. - Je ne suis pas un ange, juste une Ă©lĂšve, une parmi dâautres. Mais contrairement aux autres je suis lĂ , ici et maintenant. Jâai tellement de chose Ă dire mais je crains tellement mal agir, mal m'exprimer, je ne veux pas quâelle souffre davantage, je ne veux pas remuer de lame dans sa plaie, je ne sais que trop bien ce que ça fait. Je laisse sortir quelques mots, dĂ©licatement choisis, en soutenant son regard, elle nâest plus seule. Mais comme elle est dĂ©jĂ noyĂ©e dans les abysses de la souffrance, je ne veux pas la submerger dâun tsunami de Le truc avec la souffrance, câest quâelle exige dâĂȘtre ressentie⊠Et dâĂȘtre empreinte des mots qui ne sont pas les siens. Mais quâimporte sâils tombent Que se soit par des mots ou des larmes, ça fait du bien de les libĂ©rer, c'est indispensable... On garde parfois sa douleur bien en soi parce quâon pense quâil nây a rien dâautre, quâon est devenu sa douleur mais câest faux. Tu es toujours lĂ , tapi au fond de toi-mĂȘme. Ăa nous rassure de ressentir de la peine parce quâelle nous rappelle quâon est toujours en vie... Sa voix manque de s'Ă©teindre aussi. Mais elle ne peut pas se le permettre. Ce n'est pas pour elle qu'elle joue cette terriblement peur de ce que je dis, je veux quâelle ressente que je ne la juge pas pour quoique ce soit. Qu'ai-je fais dans sa situation?Cache tes blessures, n'en parle attention, le secret d'Ă©tats d'Ăąme, pas de comment je pensais mâen libĂ©rer, mâen dĂ©livrer⊠Je croyais que câĂ©tait cela ĂȘtre forte⊠Mais je me trompais ta le poison qui te ronge comme de l' ' bloque la de de mieux souffrir qu'ĂȘtre en moins, c'est un Ă©tat jour tu craques, tu laisses une faille d'oĂč s'Ă©coule le pus de tes ou purifie ton tout produit faut prier que ce jour lĂ , une personne soit purification est un grand chute l'issue est faut une personne pour nous rattraper, nous rĂ©cupĂ©rer au que, pensant bien faire,Lâon ne sâĂ©crase face contre terre⊠La douleur, câest purement subjectif. Il nây a pas de grande ou de petites douleurs. Il nây a pas de douleurs pires ou moindres. Quâelle soit physique ou psychiques, mĂ©ritĂ©e ou non, il nây a nul besoin de le ne sais pas quel mal te ronge, mais tu as le droit de souffrir. Car câest un droit pas un nâa pas Ă me raconter son histoire. Je lây invite sâil elle le souhaite, si elle en ressent lâenvie, le besoin. Elle nâa pas de compte Ă me rendre, de justification Ă me faire. Juste parler et avoir lâassurance de les mots quâelle laisse couler - le poison qu'elle Ă©limine de son systĂšme - tomberont dans une oreille attentive peut lâaider. Parfois, il nây a pas besoin de plus. Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Sam 28 Jan - 1937 Musique mais va falloir la passer en boucle...J'aimeraisâŠQu'on me ma vie en mieux aurais-je droit Ă une deuxiĂšme chance ?Non, il n'y en a pas, des gens comme vivent de de mes des ne suis plus que j'erre sans cet autre monde si loin de j'aimeraisâŠMais tu vois je n'ai pas le choix, entends ma complainte au ciel, vois mes larmes ruisselant sur mon visage dĂ©chirĂ©. J'ai mal tu sais, au fond j'ai toujours connu cette douleur. Et lĂ -haut, par-dessus les nuages, je vois un visage qui me nargue, destin, ait pitiĂ©, sauve-moi de cette injustice, j'ai besoin⊠Tellement besoin. Qu'on me sauve, qu'on me brise. Contradiction ? PrĂ©servĂ©e ou dĂ©chirĂ©e. Ce n'est qu'un choix, une stupide dĂ©cision Ă prendre. Fait l'a ma place, je t'en conjure, lance la piĂšce dans l'azur de cet endroit cĂ©leste. N'ai pas peur, montre-moi, pille ou face ? J'attends ton jugement⊠Je ne le crains pas mais m'offre Ă lui, dans cette derniĂšre espĂ©rance. Envoie-moi un signe, mĂȘme si ta main tremble, que ton regard s'embue et que tes lĂšvres s'Ă©tirent, je mĂ©rite de savoir⊠Je t'en supplie⊠Ne joue pas avec moi, je suis dĂ©jĂ si affaiblie. Que me reste-t-il ? Je n'ai plus rien⊠Ni but, ni objectif, je ne suis qu'absence et dĂ©sillusion. En-mĂšne moi je t'en prie confie-moi Ă ta sĆur⊠Faucheuse mortelle qui d'un coup parfaitement maĂźtrisĂ©, pourra couper sans regret, le simple fil qui me rattache Ă la terre, laisse-moi pĂ©rir et lentement, me faire bercer dans ses bras. Je ne vaux pas plus que ça, offre-moi des ailes noires, laisse-moi devenir un ange des tĂ©nĂšbres, crĂ©ature dĂ©chue des enfers. Pourquoi me refuses-tu ce droit ? J'ai le droit de connaĂźtre la vĂ©rité⊠Dit moi simplement, s'il y aura une suite Ă mon existence ou si je suis condamnĂ©e Ă planer comme je le fais maintenant. Mes yeux se ferment, simplement. Que fais-je ici ? Je tourne la tĂȘte vers l'autre. Une sauveuse ? Non un ange⊠Je le vois comme si elle l'avait Ă©crit en grand sur son le sens comme si mon instinct me le fille n'est pas une simple Ă©lĂšve, c'est un me sens lĂ©gĂšrement coupable, ne devrais-je pas fuir ?Suis-je assez digne de lui parler, moi la fille de la nuit ?Sans doute ne le serais-je jamais, mais je ne puis serait lui manquer de respect, Ă elle⊠CrĂ©ature de a pris la peine de se pencher sur mon cas, d'ĂȘtre ? Devine-t-elle ? Voit-elle ?La crĂ©ature, le dĂ©mon qui sommeille en moi ?Cette chose incontrĂŽlable crĂ©Ă©e par la folie de mes par la mienne, je ne sais plus, ne veux plus ne suis pas capable, pas assez forte pour assumer pareille si grosse remise en question⊠Et puis, l'ange me parle. Ses mots chantent. Ses mots s'envolent. Font vibrer dĂ©licatement mes tympansâŠElle veut que je m'exprime⊠Que je me libĂšre. En suis-je capable ? Je doute sans cesse. Parler d'eux, de lui⊠Y arriverais-je ? Je ne sais pas⊠Cette fille est une parfaite inconnue, elle nie ĂȘtre un ange, pourquoi veut elle me mentir ? Sans doute a-t-elle besoin de cacher son identitĂ© aux yeux du commun des mortels⊠Ou bien, peut-ĂȘtre qu'elle a vu ma noirceur profonde, qu'elle a pris peur et n'a pas oser me parler de ça. Je ne suis qu'une idiote ! Mais quand je vois ses yeux emplis de compassion, mes remords s'envolent. Elle n'a pas eu peur, elle ne voit pas le dĂ©mon. Elle doit sentir en moi ce que certains appellent le bon cĂŽtĂ©, ce que je considĂšre comme quasi inexistant chez moi. Je n'ai jamais vraiment vu cette partie de mon ĂȘtre, peut-ĂȘtre juste aperçue, mais elle a disparu. Je le sais, je le sens⊠Elle est partie avec lui. Avec Albus, avec mon cĆur et ma maintenant, je ne suis plus qu'une Ăąme vide, morte, tannĂ©e par la souffrance. Ă douleur, je t'en prie, ai pitiĂ© de moi. Je ne suis pas assez forte pour te rĂ©sister, j'ai cru, j'ai voulu⊠Mais tu avais raison, je ne suis qu'une crĂ©ature condamnĂ©e, emmĂšne-moi, met fin Ă mes jours. Je ne crierais pas je te le promets. Je serais docile, comme il l'a voulu l'autre soir, comme il me la demandait quand j'ai frappĂ© la rouge, quand son sang Ă perler la neige immaculĂ©e. Je l'ai vue Ă ce moment, l'horreur sur son visage, mon cĆur dĂ©chirĂ© par son expression. Comme s'il apercevait enfin, le monstre qui se cachait en moi. Ce serpent que je tentais chaque jour de combattre mais que j'ai fini par ne plus maĂźtriser. Je me suis fait piĂ©ger Ă mon propre jeu. J'aimerais tant qu'il me pardonne. Mais cette Ă©poque est rĂ©volue. Je ne suis plus ni prĂ©datrice, ni victime, je ne suis que fantĂŽme errant. Sur cette terre trop ronde, ce monde trop n'ai pas ma place ici, je ne l'ai jamais eue, je m'en veux d'avoir pu croire, d'avoir pu penser que j'Ă©tais assez forte pour tout ça. Mais, la vĂ©ritĂ© m'a vite rattrapĂ©e, elle m'a jetĂ©e au sol sans mĂ©nagement. Ce doit ĂȘtre ce que certains appellent la justice, oui la mĂ©chante finit par pĂ©rir, ne plus ĂȘtre que l'ombre d'elle-mĂȘme. Mais qui choisit donc les rĂŽles ? Se donnent la responsabilitĂ© et le droit de faire pencher la balance. Pourquoi jamais au bon moment ? J'ai eu ce que je mĂ©ritais et pourtant j'enrage, je crie Ă l'injustice de mon existence. Je n'arrive pas Ă me plier Ă la volontĂ© de ce destin qui n'ose pas choisir pour moi. Et je ris de la mort, je suis encore bien trop vivante. MĂȘme si mes membres dĂ©charnĂ©s, mes yeux cernĂ©s, corps, cĆur et Ăąme dĂ©truisent. Pour tout recommencer ou finir maintenant. Je ne parviens pas Ă choisir, Ă me mettre d'accord avec loin de ce monde de reviens Ă la yeux de l'ange me ce monde dois ĂȘtre un agent entre conscience et suis la fille du mort et et affliction. Le jour veut me voir nuit me mon ĂȘtre, ma tĂȘte et mes me demande d' cesser d'ĂȘtre cette crĂ©ature se cherche sans se dois cet nuit me me je ne suis plus ne peux l'ignorer plus longtemps, il faut que je lui rĂ©ponde, que je lui parle. Lui offrir moi aussi, les sons de ma voix. AprĂšs tout c'est moi qui ais commencĂ© Ă lui parler cauchemars et malheur. Mes mains tremblent, j'ai si peur. Qu'elle ne soit que mon jugement dernier, lĂ pour peser le bien et le mal avant de m'emporter dans les cieux ou de me rendre Ă mon berceau. Mais il n'y a pas besoin de balance, je suis mal je le sais. Je ne tente mĂȘme pas de le nier, je le sais depuis trop longtemps. Cet inscrit au plus profond de moi. Au-delĂ du sang et de la chair, dans une dimension que je n'ai jamais Ă©tĂ© capable que dâeffleurer. Que je redoute plus que tout. Car elle me ferait verser, irrĂ©mĂ©diablement dans la noirceur, par n'importe laquelle, celle qui tue sans pitiĂ©, mais je ne peux pas me permettre, d'utiliser cette ultime horreur cachĂ©e en respire et sens mon cĆur battre doucement dans ma poitrine ⊠Boum⊠BoumâŠJe dois lui expliquer, lui BoumâŠDepuis le dĂ©but⊠- La souffrance, petit ange, je la connais si bien, elle fait partie de nous tu sais . Parfois elle parts, mais ce n'est que pour mieux revenir⊠Chez moi, pour moi⊠Les larmes ne suffisent pas, j'ai essayĂ© si tu savais, j'ai eu mal jusqu'Ă vouloir m'en dĂ©chirer en deux, mais je n'ai pas rĂ©ussi, la mort ne m'attire pas, la vie non plus⊠Je suis coincĂ©e ici, vivant dans cette nuit infinie, fantĂŽme errant, fuyant les dĂ©mons de son passĂ©. Mais je ne suis pas d'accord⊠Pour moi il y a deux sortes de douleur celle qui fait mal et celle qui nous change⊠Et moi je souffre, petit ange, j'ai mal, chaque jour qui passe, chaque seconde qui s'Ă©coule mais j'attends. Attitude stupide ? Je n'en doute guĂšre⊠Mais, je suis prisonniĂšre de mes tourments, depuis si longtemps. Et au loin je vois, doucement, cet espoir qui s'enfuit devient de plus en plus inatteignable. J'aurais tant souhaitĂ©, retourner dans mon innocente, mais mes rĂȘves sont terminĂ©s, le cauchemar a commencĂ© quand j'avais cinq printemps et n'a jamais lointain, pourquoi est-ce que je parle ? Pourquoi dis-je tout ça ? Suis-je comme ça ? J'aimerais la soutenir, lui dire qu'elle a raison, rester optimiste, pour elle⊠Parce que ce petit ange qui me trouve Ă moitiĂ© morte en cet instant aurait mĂ©ritĂ© bien mieux que ce que je ne serais jamais capable d'offrir. Je lui offre mes yeux dĂ©chirĂ©s encore une fois, fini le regard perçant de la prĂ©datrice, celui hautain de la noblesse et ce dernier dĂ©goĂ»tĂ© de de la sang pur. Oui, mon existence se rĂ©sume en regard et chacun peut aujourd'hui lire ma douleur dans ces yeux Ă elle, j'aurais voulu montrer autre du nĂ©ant, du vide, du aimĂ© lui transmettre du remercier de sa prĂ©sence, de son oreille surtout de sa voix qui rĂ©sonne encore en si jolie mĂ©lodie, qui me fait cet OcĂ©an de je reviens sur la quittent mes cauchemars, il ne faut pas que je nouveau dans la folie de la avec elle, je ne me le permettrai simple paria Ă qui elle prend le temps de sais que je ne mĂ©rite pas cette elle ne semble pas peut-ĂȘtre n'y fait elle pas anges sont tellement la vois diffĂ©rente et pourtant si façon de parler de la ? A-elle dĂ©jĂ vĂ©cu cela ?Est-ce elle aussi une miraculĂ©e ?Descendue des cieux pour m'aider et me elle nie, elle a niĂ©, je ne sais plus quoi penser. J'aimerais qu'on m'Ă©claire, apprendre Ă la dĂ©couvrir, voire ce qu'il se cache chez cette jumelle lumineuse, ce bon cĂŽtĂ© du miroir. Ăme de lumiĂšre pour cĆur de noirceur. Ange et dĂ©mon rassemblĂ©es pour pouvoir survivre Ă la vague mortelle qui se rapproche dangereusement de l'enfant qui ne possĂšde pas d'ailes. L'eau lĂšche le bord de la plage, le poison s'infiltre dans le sable. Le serpent regarde le tout sans expression mĂȘme si elle sait que quand le liquide nĂ©faste arrivera jusqu'Ă elle, elle en mourra sans possibilitĂ©s de retour en arriĂšre. Elle est au courant et ne semble pas s'en prĂ©occuper, peut-ĂȘtre est-ce dĂ» au fait que ce sont en partie ses propres larmes et le sang qu'elle a fait couler qui ont contribuĂ© Ă alimenter la marrĂ©e qui s'approche de plus en prĂšs d'elle, planant dĂ©licatement, il y a un ange, crĂ©ature cĂ©leste dont la mission est de voler au secourt de la diablesse. La vague se rapproche les deux enfants le savent, un reste neutre, l'autre tente Ă l'aider. De la faire reculer, mĂȘme si ce n'est que pour quelque temps. Il faudrait le faire, construire cette digue, ce brise-lame, capable dâempĂȘcher d'avancer, faute de savoir l'Ă©radiquer, ce poison, cet acide, qui meure d'envie de venir lĂ©cher les pieds de la petite dĂ©mone qui ne rĂ©agit plus. On pense que son heure est sans doute venue, peut-ĂȘtre est-ce vrai. Mais il y a encore dans ce monde de blancs et de noir. Des gens pour croire que rien n'est perdu. Que la vie continue. Et lĂ -bas sur cette plage de sable blanc, la marrĂ©e noire avance les seconde et l'angoisse qui monte, dans le cĆur de l' diablesse est entravĂ©e, l'eau a tant attendu ce ne peut plus se battre, elle n'a jamais pu, bien trop faible, il est temps de prendre le sur cette plage, une forme blanche, qui se bat Ă coup de de comprĂ©hension qui rĂ©veille doucement le petit l'inciter Ă continuer, Ă dĂ©passer, Ă construire un arrĂȘter cette mer de l'enfant de la nuit prend la main de l' que l'eau nĂ©faste pousse son premier hurlement d' est une redoutable force de vie⊠Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Dim 5 Mar - 2221 - La souffrance, petit ange, je la connais si bien, elle fait partie de nous tu sais. Parfois elle parts, mais ce n'est que pour mieux revenir⊠Chez moi, pour moi⊠Les larmes ne suffisent pas, j'ai essayĂ© si tu savais, j'ai eu mal jusqu'Ă vouloir m'en dĂ©chirer en deux, mais je n'ai pas rĂ©ussi, la mort ne m'attire pas, la vie non plus⊠Je suis coincĂ©e ici, vivant dans cette nuit infinie, fantĂŽme errant, fuyant les dĂ©mons de son passĂ©. Mais je ne suis pas d'accord⊠Pour moi il y a deux sortes de douleur celle qui fait mal et celle qui nous change⊠Et moi je souffre, petit ange, j'ai mal, chaque jour qui passe, chaque seconde qui s'Ă©coule mais j'attends. Attitude stupide ? Je n'en doute guĂšre⊠Mais, je suis prisonniĂšre de mes tourments, depuis si longtemps. Et au loin je vois, doucement, cet espoir qui s'enfuit devient de plus en plus inatteignable. J'aurais tant souhaitĂ©, retourner dans mon innocente, mais mes rĂȘves sont terminĂ©s, le cauchemar a commencĂ© quand j'avais cinq printemps et n'a jamais mots coulent Ă flot, comme l'encre d'une plume qui se dĂ©verse sur un parchemin, comme les doigts agiles d'une jeune fille dansant sur un douleur se dĂ©verse de la plaie, le poison coule, goutte, pullule, se rĂ©pand hors du systĂšme. Mais soudain je doute. Terriblement. Est-si c'Ă©tait une erreur immense que de la faire parler, que de l'Ă©prouver dâavantage?Chaque mots semblent lui si ils venaient comme des Ă©carteurs, Ă©loignant les deux bords d'une plaie, qui peine dĂ©ja tant Ă se envie de me mordre les lĂšvres et... mĂȘme de pour moi pour mon sort, je n'ai pas Ă mâapitoyer. Je me me semble me sens tout ce que je ne peux pas lui son passĂ© que je ne peux pas sa douleur que je lui fait regrette presque aussitĂŽt de m'ĂȘtre penchĂ©e sur elle, ce n'est pourtant pas l'envie, le cĆur qui j'ai peur, terriblement ne servir Ă rien. Pire, peur dâaggraver la plus tard, de la n'Ă©tais pas lĂ quand Mary avait besoin de moi, je ne sais comment ne veux pas la forcer, pas la blesser dâavantage, je nâaurais peut ĂȘtre pas dĂ» mâappelle petit ange encoreâŠJe me sens soudainement cette cette n'a rien de je n'ai rien de ne mĂ©rite pas ce titre, cette nâai rien fait de nâai rien fait du câest ce que je fais le ne cause de tord Ă ne critique ne blesse pasJe ne me mets personne Ă ne suis pas en fin de de les vies de de point fixe, pas d' pourtant, aujourd' la la la me sens reliĂ©e. Tenue par ce cette dans ces son son son passĂ© qu'elle vient de suis ansâŠSon sort Ă©tait suis au bord des bord de la estomac est atrocitĂ©âŠMais qui aurait osĂ© ?Toucher Ă une sa puretĂ© voler son tendres douceurs de son mĂȘme si quelques dĂ©ceptions venaient entacher son jeune ce que quelques erreurs, dans la vie dâune enfant sage?Elle est ici au demi-vie vie maudite lui vie davantage emplie de petites morts que de je la sorciĂšre qui se tient aurait devenir un Obscurus, sâ tient-elle bon depuis tant d'annĂ©es?C'est inhumain?Son sort la une sorte de miraculĂ©e?Gabrielle, tu nâes pas lĂ pour a mal, elle ose le de temps t'es tu tues/tuĂ©e avant de faire de idiotie. Tu as mal, tu nâes pas le mal ! La nuance est tellement nĂ©cessite dâĂȘtre n'es pas devenue rien ne semble t' douleur, je l'ai connu parles de celles...Celle qui nous fait malâŠCelle qui nous changeâŠ.Comment une douleur pourrait nous faire changer sans avoir mal ?Comment ne pas changer quand on a mal ?Câest sont toutes deux aussi mort ne m'attire pas, la vie non plus⊠Un seul monde mâattirait aussi, celui des rĂȘves, il abolissait tout, lois, temps, espace, moins c'est ce que je croyais, j' je sais. Aucun issue de cette brĂ»le tant que le sang relativise sa moment de bonheur est un don du ciel Ă cĂŽtĂ© de chaque souffrance a eu ce second dĂ©part, cette seconde chance, ce renĂ©e de mes cendres? Pas complĂštement. Chaque chose en son jour viendra, la rĂ©surrection sera attendant, cette fille t' ne peux pasla sauver pour ml' tu peux la ramener d'une petite par lĂ qu'il faut ne suis pas fĂ©ru de contact charnel, mais je sais ne pas en ĂȘtre avare quand il y en a me semble que je doit lui tendre, lui bouĂ©e, qui lâaide Ă flotter le temps de resaler. Une Ă©paule sur laquelle sâappuyer le temps de remonter en main pour maintenir la sienne le temps de prendre une De renouveau. D'envie. De soutien. De volontĂ©. De force. De suis disposĂ©e Ă tout lui moins Ă peut tout moment qu'elle ne cherche pas Ă m'utiliser. Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Sam 11 Mar - 1225 J'ai oubliĂ©, me suis temps l'instant et les secondes qui ne cherche plus rien d'autre que cette ne veux pas m'achevez, qu'il me laisse ne supporte plus d'ĂȘtre ainsi je ne rĂ©flĂ©chis plus, n'en ais plus de tout analyser, je suis bien trop n'ai pas envie de me un mur de Ă s' veux simplement cette lĂ©gĂšre brise contre mon juste ĂȘtre lĂ , ici et n'ai plus Ă chercher autre montrer, que je ne suis pas encore je peux continuer Ă me battre, un seul tout mes dĂ©mons avant de cet ultime champs de guerre Ă assez ne suis pas faites pour ĂȘtre soldat, je ne suis pas nĂ©e pour tenir une arme, mais pourtant c'est au fond de moi que ce cache le poignard. J'ai tant voulu le dĂ©truire, me dĂ©truire pour Ă©vacuer le poison de mon sang, mais je n'y suis pas parvenue, je n'en Ă©tais pas capable, bien trop fable pour faire ce genre de manipulation, j'ai eu peur du feu, peur de me brĂ»ler. Alors j'ai simplement attendu, que le verdict tombe, que ma mort approche, mais l'agonie est lente et au lieux de me donner l'envie de vouloir mettre moi mĂȘme un terme Ă mon existence, elle m'offre une cruelle illusion appelĂ©e espoir. Je ne sais pas, ne sais plus, si je dois y croire ou bien fuir ce mot qui me semble Ă la fois bienveillant et menaçant pour ma qualitĂ© de spectre. Si seulement rien de tout cela n'Ă©tait arrivĂ©, si je n'Ă©tais qu'une enfant de banalitĂ©. Mais le cruel destin en a choisi autrement, alors je me tais, je me plie, exauçant la moindre de ses exigence puisque je n'ai pas le choix, comme une esclave j'obĂ©is bien qu'entre mes dents les haine est bien prĂ©sente envers ce maĂźtre veux fermer les yeux, me recroqueviller et m'endormir, peut ĂȘtre Ă jamais, peut-ĂȘtre pour une nuit, je ne veux pas savoir. Chaque membre me fait mal mais je m'applique Ă souffrir en silence, mĂȘme si les autres le remarquent, je n'ai pas le choix. Doigts qui passent sur mon visage, mes cernes, mes lĂšvres. Mains qui retombent au sol sans comprendre ce que le corps reflet de l'Ăąme Ă pu devenir. Ă l'heure oĂč le soleil semble briller si intensĂ©ment, lĂ sur l'herbe du vert printemps l'Ăąme dĂ©chirĂ©e reste mais pas seule. Enfant accompagnĂ©e, par ce que les yeux voient comme un ange, alors le contact d'une main pour ne rien lĂącher, la surprise, brin dâespoir, nouveaux regard. Lentement, petit Ă petit, une confiance nouvelle qui naĂźt envers l'ange pour l'enfant des brise qui vient faire voler les mĂšches et je me sens si faible, j'ai tant besoin de cette impression, comme un dĂ©sir de me sentir Ă lâabri, protĂ©ger de ce danger incessant qui semble planer sur moi. Regard suppliant, regard d'enfant quand je me rapproche pour la serrer dans mes bras, juste quelques instant de contact, le temps d'une larme qui tombe, avant de retrouver la distance, mais les doigts pourtant toujours entremĂȘlĂ©s. Alors je souris, non visiblement mais bien intĂ©rieurement. L'autre Ă mon Ăąge pourtant je la vois plus grande, pas adulte car je ne leur accorde pas ma confiance, pas grande sĆur, pour moi elle ne sont pas forcĂ©ment gentille, peut ĂȘtre simplement comme une amie ? Je ne suis pas spĂ©cialiste de ce terme, gĂ©nĂ©ralement les relations que j'ai avec autrui ne sont que rarement positive mais bien d'animositĂ©. Pourtant alors que je ne l'a connais qu'Ă peine, je ne peux mâempĂȘcher d'avoir cette impression ce sentiment que le petit ange est belle et bien d'empathie et non un ĂȘtre cruel prĂšs Ă retourner les apparence et me plonger un poignard dans le dos. Je serre un peu plus les doigts de l'ange et tourne la tĂȘte vers elle. J'ai envie de parler, lui dire quelque chose, simplement faire couler les mots hors de ma gorge et les laisser se rĂ©pandre autour de moi, pour rentrĂ©e vidĂ©e au chĂąteau et peut ĂȘtre mĂȘme rĂ©ussir Ă m'endormir. Mais les phrase restent bloquĂ©e et j'enrage de ne plus ĂȘtre capable de faire sortir les mots de mes lĂšvres, je ne suis pas douĂ©e pour communiquer mais j'avais pensĂ©, simplement espĂ©rer que cela puisse ĂȘtre diffĂ©rent, que je pourrais lui confier, mais maintenant que la premiĂšre vague est sortie plus rien ne veux s'Ă©chapper. Cruelle tant te raconter petite ange, te partager comme je l'ai fait, la douleur, les malheurs, les pleurs. Mais qu'en ferais tu ? Cela ne tâempĂȘcherait-il pas de dormir ? Serais-tu vraiment apte Ă m'aider ? Je ne veux pas te causer de soucis, je n'ai mĂȘme pas envie que tu te retrouve mĂȘlĂ©e Ă tout ça, pourtant j'ai cet irrĂ©pressible besoin, cette envie de te confier un partie de ma vie, pas spĂ©cialement le passĂ© mais que dirais-tu du prĂ©sent ? C'est plutĂŽt un beau cadeau non ? On peut en faire pratiquement ce qu'ont en veux, lui offrir la forme dĂ©sirĂ©e et quand viendrons les jours sombres et qu'il sera passĂ© alors les souvenirs Ă©mergerons et apporteront un peu de sĂ©rĂ©nitĂ©. Qu'en penses-tu ? Veux tu faire partie de mon prĂ©sent ?- Comment t'appelles-tu ?Honte Ă moi de ne pas simple nom de l' humaine de cette perdu au loin, pour une ne sais que faire, que peur qu'elle s'en aille, qu'elle me je ne veux pas que tu souhaite tu puisse faire partie de mon que tu seras d' sais que ce n'est pas une proposition en je te fais confiance, pour en faire de te montrerais que je peut ĂȘtre digne de ensemble nous repousserons la marĂ©e noire. Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Lun 1 Mai - 1510 Alors quâune main tendue. Sonne comme une sâempresse dâaccepter et mĂȘme de prend mon bras, et mon torse tout rapprochement inattendu qui me pousse dans mes nâai jamais connu telle refoule les pulsions premiĂšres qui me crient de Ă©lan dâaffection vĂ©cu comme une refuse de cĂ©der Ă cette souvenirs quâĂȘtre maintenue vient me nâest pas sens cette tonicitĂ©, loin dâune froideur pesante. Mais dâune prĂ©sence, dâune confiance projetĂ©e, accolade perds son regard le temps de cette embrassade. Puis le retrouve quelque chose dans ce regard, dâun peu fragile et de lĂ©ger comme un vient de naitre. Que je lui ai pacte est donc pris mes responsabilitĂ©s, de ne pas la dĂ©cevoir, ne jamais la laisser contrat signĂ© sans plume et sans encre ni papier. Loin des traĂźtres traitĂ©s nĂ©gociĂ©s, puis dans le nĂ©ant le silence dâun de ce pas le continuum dans lequel l'on se perd, l'on se vies bruyantes sâen sont dans le silence de ce matin lĂ , nous nous sommes un brin dâherbe ne gĂ©mit, pas une pierre ne grince, pas un souffle ne soupire Ă mes sont lĂ bien sĂ»r, musiciens du monde jâai Ă©teint mon ouĂŻe, jâai court-circuitĂ© le cĂąble qui nous seule vĂ©ritĂ© prĂ©sente Ă mes yeux, la seule qui fait du bruit est lâenfant voix qui tintinnabule. Comme une clochette d'argent annonce un bon Comment t'appelles-tu ?Question Ă©trange. Ou ponctue les premiĂšres rencontres. Simple code Ă respecter. Ou vĂ©ritable de curiositĂ©. D'envie. Donc de je mâappelle ? La question se pose si je nâĂ©tais plus simplement moi-mĂȘme. Comme si je nâexistais plus indĂ©pendamment dâ demander, alors que tu mâas dĂ©jĂ appelĂ©e?A ma naissance, j'ai reçu un prĂ©nom, une envie hĂ©ritĂ©e de mes gĂ©niteurs, que je nâai pas m'appelle...Non je ne m'appelle pas. J'ai Ă©tĂ© nommĂ©, voilĂ ce qu'il est juste de prĂ©nom ne me dĂ©plaĂźt pas, ne vous mĂ©prenez pas. Mais je ne comprends pas lâintĂ©rĂȘt portĂ©e Ă cette information qui ne me dĂ©finit pas. Mais comme je ne suis plus lĂ pour moi, je rĂ©ponds ce qu'elle veut J'ai reçu le prĂ©nom de crains de retourner la question. A lâentente de la souffrance passĂ©e que je vais ramener. Mais trop tard, une norme de rĂ©ciprocitĂ© est activĂ©e, piĂštre humaine que je suis, je peine Ă y rĂ©sister. Un Ă©change de bon procĂ©dĂ©, une reconnaissance rĂ©ciproque activĂ©e. - Comment souhaites-tu que je tâappelle ? Je te laisse protĂ©ger ton passĂ©, ton identitĂ©. Tu existes pour moi en tant que ce que tu choisis dâĂȘtre. Tes tortionnaires ne te dĂ©finissent pas. Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Lun 1 Mai - 1922 Parfois la vie est une traĂźtresse, souvent elle nous blesse poignard dans le dos, perle qui coule et la au la lune rit de nos malheurmais aujourd'hui pasalors que tout laissait penser que c'Ă©tait bientĂŽt la fin que l'enfant offrait son derniĂšre soupire ses derniĂšres larmes d'un voile qui se dĂ©chireune apparition lumineuse sur la douce et fraĂźche rosĂ©eun pas lĂ©ger et pas d'ange comme une Ă©tincelle dans la nuit ta main, ma main pour un matin sourire plus brillant que l'astre timide ses yeux qui offrent l'envie de se battre celle de remonter la pente de retrouver cette envie de ses mots, sa voix qui rĂ©sonne comme une douce mĂ©lodie, symphonie du matin dans le ciel clair et sous le chant des oiseaux, Ă elle seule elle vient construire un paradis qui Ă©loigne les maux, mes maux⊠Une douleur si vive qui rĂšgne dans mes plaies Ă vif aux cicatrices que l'on espĂšre mais qui restent absente. Et elle. Je peux presque voir ses ailes qui nimbĂ©e d'une merveilleuse Ă©claircies comme l'on en trouve qu'aux petits matin d'hivers restent sagement dans son dos, j'aurais presque peur, oui, effrayĂ©e qu'elles ne sâaniment et fasse s'envoler la jolie fille. Mais tout cela n'est pas plausible, ma tĂȘte rĂ©sonne tendis que je me demande comment j'ai pu penser ĂȘtre abandonnĂ©e par elle alors qu'elle m'offre un bout de paradis. OĂč pourrait-elle donc s'envoler si ce n'est ici ? Je ne sais pas alors je me dis qu'il n'y a pas d'autre dans un tourbillon de sĂ©rĂ©nitĂ© qui m'emporte au loin je ne cherche pas Ă rĂ©sister, je n'en ai plus envie, simplement portĂ©e Ă Ă©couter l'Ă©cho de son nom dans le parc qui ne m'a jamais paru aussi accueillant. Gabrielle⊠Gabrielle⊠J'avais raison, c'est bel et bien un ange qui se tient Ă mes cĂŽtĂ©s, un ange qui va m'aider Ă me battre ou du moins penser mes plaies, oui je ne suis pas sĂ»re qu'elle puisse m'aider, cette bataille contre les dĂ©mons de mes cauchemars est la mienne et personne ne peux faire le travaille Ă ma place, au fond quand bien mĂȘme elle pourrait je ne serais pas d'accord, j'ai trop peur qu'il ne lui arrive du mal, qu'elle ne se fasse blesser par ma faute. Il n'y a pas que moi qui ait pu souffrir, elle n'ont plus n'a pas du avoir la vie toute blanche sinon elle ne serait jamais devenue l'ange que je vois en elle aujourd'hui⊠Chaque mot comme une pommade, un baume qui soulage les blessures et rend la douleur supportable, je ne sais pas si elle voit, si elle se rend compte du soulagement qu'elle me prodigue, certes il serait dommage qu'elle n'en ait pas conscience mais cela ne m'Ă©tonnerait pas vraiment, un ange ne se prĂ©sente pas comme tel, c'est d'ailleurs bien pour ça qu'elle a tentĂ© de nier, elle me rend heureuse sans le savoir comme si ce n'Ă©tait pas dĂ©jĂ assez merveilleux comme ça qu'elle le fasse tout simplement. La phrase prend une tournure dâinterrogation et je plonge mon regard dans le sien dĂ©terminĂ©e Ă ne jamais lĂącher cette petite bĂ©nĂ©diction du ciel qui est venue se poser prĂšs de moi. On pourrait penser ses mots pareils au mien mais la nuance est importante, comme si elle ne s'arrĂȘtait pas au simple fait d'avoir un nom mais bien Ă celui que j'aimerais recevoir de sa une conversation mise dans le dĂ©sordre oĂč l'on commence par se livrer avoir d'offrir son identitĂ©, la formule me plaĂźt, je ne vois pas pourquoi il devrait y avoir un quelconque ordre de discussion aprĂšs tout⊠Un ange, oui cela te va Ă merveille⊠Tu resteras mon petit ange⊠Rester sur mes positions, c'est peut-ĂȘtre un peu idiot mais je trouve que ça lui va trĂšs bien, l'ange Gabrielle, que vient elle donc m'annoncer ? Une clef pour la libertĂ© ? La plus part des gens de ce monde me nome Ellana et je n'en suis pas dĂ©rangĂ©e j'aimerais juste que jamais tu n'utilises mon nom de famille⊠Peut-ĂȘtre que cela peut paraĂźtre stupide mais les entendre Ă travers moi me glace d'horreur. Yeux qui sâabaissent puis bien vite se relĂšvent, ne pas la quitter, ne pas fuir ses beaux yeux, rester avec elle, encore, juste un peu⊠J'aimerais Ă nouveau entendre le son de sa voix mais elle semble se taire, puis le moment en tout cas, mon regard se perd dans l'infini du paysage qui me semble soudain plus lumineux que d'habitude, est-ce donc sa prĂ©sence qui rend le tout plus magique, plus merveilleux ? Qu'a t-elle donc fait Ă mes yeux ? Ses doigts dans les miens entrelacĂ©s comme si jamais ils ne pouvaient rĂ©ellement se quitter, je te connais depuis quelque temps seulement, pouvant compter en minutes les vĂ©ritables moment que nous avons partagĂ©s et pourtant tu es l'une des personne qui j'ai de plus chĂšre, merci d'ĂȘtre lĂ petit ange, merci de me rendre un peu de joie, un simple sourire sur cette terre glacĂ©e pour simplement rĂ©chauffĂ© mon cĆur, mon Ăąme aussi gelĂ©e. Non, il n'y a rien de plus magique que ce sentiment de vie que tu m'offres en cet regard emmĂȘlĂ©s,pour continuer d'avancer le monde peut bien tomber je continuerais d'exister tant qu'elle reste Ă mes cĂŽtĂ©set continue Ă me protĂ©ger je crois en elle comme je n'ai jamais cru parce qu'elle est lĂ et vivante avec pourtant une telle irrĂ©alitĂ©comme si j'allais finir par me rĂ©veiller et dĂ©couvrir que j'ai tout rĂȘvermais non, elle est bien lĂ et tout est trop rĂ©el pour n'ĂȘtre qu'illusionalors je me raccroche Ă cet espoiret fais un pas de plus vert cette lumiĂšre au fond du couloir. GalatĂ©a PeverellSerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGalatĂ©a Peverell, le Mer 28 Juin - 2101 HRP Nous vous invitons Ă rĂ©pondre Ă la suite des posts pour Ă©crire la rĂ©action de votre personnage s'il tombe sur l'un des tracts. Un sort conditionnel a Ă©tĂ© lancĂ© sur les prospectus par MorrĂŹgan ressemble Ă un journal lambda jusquâĂ ce quâun sorcier/moldu en rapport avec la magie ou autre le toucheRP uniqueSe dĂ©roule au petit matinEncore une nuit. Encore lâennui. Encore les frasques de lâinsomnie. Demain elle irait voir lâinfirmiĂšre pour lui demander des somnifĂšres, mais ce soir elle prĂ©fĂ©rait mettre son trouble Ă contribution. Ce soir, elle avait une mission. La premiĂšre. Alors, forcĂ©ment, Ester avait envie de bien faire. Elle avait dâhors et dĂ©jĂ prouvĂ© quâelle savait ĂȘtre au mauvais endroit au mauvais moment, il fallait maintenant prouver quâelle Ă©tait capable de plus. De mieux ! Plus encore parce quâelle comptait les rejoindre. Son insomnie, Ester dĂ©cidait donc de lâutiliser pour arriver Ă ses fins. Pour la bonne cause. Avec lâespoir de sauver quelques Ăąmes. La derniĂšre annĂ©e se leva donc, sâhabilla de noir, masqua son visage. Et la voilĂ partie, prospectus dans un sac agrandit magiquement. Ce soir elle comptait bien sâamuser. Ce soir elle ferait de la magie. Demain elle constaterait de lâeffet quâaura eu son Ćuvre sur les autres. Dans le parc, les prospectus en forme dâoiseaux ne manquait pas. Certaine d'ĂȘtre toute seule et d'en avoir presque terminĂ©, Ester se laissa aller Ă fredonner une chanson."Au clair de la Luuune,Mes amis vos pluuuumes,Pour Ă©crire un espoir est mooort,je n'ai plus le la foooorce,Pour ressuscitĂ©".L' membre du derniers jours ont Ă©tĂ© une grande Ă©preuve. La prise en otage de certain d'entre vous, l'attaque au sein mĂȘme de l'Ă©cole de magie la plus rĂ©putĂ©e au monde, et la disparition d'un directeur qui ne vous protĂšge plus par son absence. Ce message est pour qui doutent, qui ont peur, qui sont qui se rebellent, qui n'en peuvent plus de ces vous demandons de vous relever de ces Ă©preuves. Cette expĂ©rience face aux attentats ne vous ont pas rendu plus faible. Seulement, pour certain, plus vulnĂ©rables encore par la fatigue et l'habitude. Nous vous demandons de ne pas cĂ©der Ă toute avance des mages-noirs autant dans la vie que dans vos esprits, dans vos cĆurs comme dans vos corps. Certains ont Ă©tĂ© blessĂ©s, certains sont indemnes. Mais votre rĂ©sistance font de vous des combattants contre l'injustice, le doute et la peur. Certain d'entre vous ont-il dĂ©jĂ reçus des cours sur les Patronus, ou en ont peut-ĂȘtre dĂ©jĂ enseigner ce thĂšme un formidable bouclier, dĂ©fenseur contre la peur. Et bien, cher membre du personnel, nous vous demandons de lever ces boucliers face Ă la peur d'un attentat nouveau. Nous vous demandons de rĂ©sister aux Mangemorts, vĂ©ritables DĂ©traqueurs de notre sociĂ©tĂ©. Mais n'oubliez pas, membre du personnel, que les Mangemorts sont de piĂštre DĂ©traqueurs. Il est plus facile de se battre contre un homme, une femme, un adolescent emplit de haine et chercheur d'un faux pouvoir que de se battre contre la peur elle mĂȘme et son baiser de mort. La peur de la faiblesse ont fait d'eux des illuminĂ©s capable de tuer leurs familles, et de se briser eux-mĂȘmes. Cher l'humanitĂ© n'est pas une faiblesse. C'est une force qui se nourrit de ce que nous avons de plus commun. De plus ancien. Chaque pas vers la solidaritĂ©, vers le courage et vers la tolĂ©rance vont vous rapprocher d'une magie ancienne, plus combative et plus forte encore. Les meilleurs boucliers ne se forment pas avec plusieurs baguettes ? Les Patronus ne viennent pas en aide grĂące Ă vos meilleurs souvenir ? Ceux-ci ne sont pas emprunt d'amour ? D'amitiĂ©s ? De compassion ? D'empathie ? membre du personnel. Nous ne vous demandons pas de vous battre sous un mĂȘme Ă©tendard. Nous ne vous demandons pas de vous battre sous les feux du PhĂ©nix. Nous vous demandons de vous battre et de rĂ©sister pour vous, et avec vos propres armes. Vous qui formez l'individualitĂ© dans la sociĂ©tĂ©. Vous, qui, par vos actions individuelles, sauvez l'HumanitĂ© et votre intĂ©gritĂ©, telle une fourmiliĂšre. Si chacun d'entre vous se bat pour lui⊠Alors c'est toute la sociĂ©tĂ© qui se rassemblera sous une seule et mĂȘme force, une seule et mĂȘme puissance Votre renoncement Ă la peur, au doute, afin de participer au combat contre les tĂ©nĂšbres qui vont si souvent vous priver de quelque chose, de quelqu'un, et mĂȘme parfois de votre propre vie. Que vos baguettes se lĂšvent. Que les Patronus se rassemblent. Luttons tous contre l'obscuritĂ© pour ĂȘtre encore libre de nos propres choix, et nos propres vies. N'oubliez pas, si vos baguettes vous ont choisies, ce n'est pas pour ĂȘtre esclave des tĂ©nĂšbres, mais pour ĂȘtre manipulĂ©s par vous et par vous seuls. Pour vos propres capacitĂ©s, vos propres pensĂ©s. Brandissez lĂ , faite lui confiance. Vous vous protĂ©gerez du PhĂ©nix. Codage de Louna ©Edit Lizzie Bonjour Rachel. ConformĂ©ment au RĂšglement RPG, en zone RPG, votre post doit contenir un minimum de 600 caractĂšres, citations et formulaires exclus. Celui-ci en fait 286. Merci de bien vouloir Ă©diter votre message pour le complĂ©ter et de faire plus attention Ă lâavenir. Cordialement. Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Ven 30 Juin - 156 Hop lĂ ! MĂȘme si je tarde Ă rĂ©pondre, ce rp pv se curieux cette façon quâelle a dâemployer la nĂ©gation. Son appellation commune ne la rĂ©jouit pas, elle ne lâapprĂ©cie pas, mais elle ne la dĂ©range pas non plus. Je me pose alors mille questions, sur ce qui peut la dĂ©ranger, quoi de plus quâun nom ? Moi je le trouve plutĂŽt enjouĂ©. HĂ© Lana ! Comme une amie que lâon interpelle depuis lâautre cĂŽtĂ© de la cour. Lâimpatience est si grande de la retrouver, que ce cri fend la foule, car il nous tarde de nous retrouver. Et Lana. Quelle est sa moitiĂ© ? Lâautre partie, lâĂȘtre auquel elle est juxtaposĂ©e. Avec qui une paire indissociable est formĂ©e. Ellana. Elle ne le sait peut-ĂȘtre pas, mais elle a deux ailes, elle aussi. En tout cas, moi je les vois. Mais elle semble abĂźmĂ©es. DĂ©chirĂ©es. En lambeaux. TailladĂ©es au couteau. Des lames lui ont volĂ© sa libertĂ©. L'ont clouĂ©e au sol. Sans chaĂźne la retiennent prisonniĂšre. Mais je vais l'aider, Ă regarnir ses ailes de plumes plus Ă©clatantes que jamais. Pour que dans les cieux, les deux cavaliĂšres, pas de l'Apocalypse, de la Voie LactĂ©e chevauchent en toute tranquillitĂ©. Je la sens. Avec mes yeux tout simplement, je la vois. Je ne peux dĂ©tacher mes yeux de son visage esseulĂ©. Sa peau me semble s'ĂȘtre opacifiĂ©e. Pour qu'elle ne laisse rien paraĂźtre. Une carapace. Pour garder les blessures Ă la surface. Pour ne pas se laisser transpercer. Je la sens tactilement. Nos mains entremĂȘlĂ©es. Sensation que je nâai pas lâhabitude dâĂ©prouver. Je nâaime pas ĂȘtre touchĂ©e. Partager les choses par ce biais. Mais je la sens autrement. Je la sens Ă©tonnamment dans mon cĆur, dans lequel elle vient de se nicher. Doucement, durant les minutes Ă©coulĂ©es, elle a entrebĂąillĂ© cette petite porte, que je ne pensais pas si facile Ă pousser. Elle sâest faufilĂ©e dans un silence entre deux battements. Et lĂ voilĂ installĂ©e. Dans un fauteuil solidement ancrĂ© dans le plancher de cette chaumiĂšre. Qui ne renferme que trop de chaises. Que trop peu de dossiers occupĂ©s. LĂ voilĂ calĂ©e prĂšs de l'Ăątre d'oĂč elle ne pourrait ĂȘtre dĂ©loger sans grandes est lĂ . Solidement accrochĂ©e sous ma peau. MĂȘme si je lui lĂąchais les mains maintenant, nous resterions Ă©troitement liĂ©es. Mais je ne suis pas tout Ă fait prĂȘte Ă la laisser aller. Je suis ici pour la relever. Commençons par quitter ce sol gelĂ©. Lentement, en s'appuyant d'abord sur elle pour me redresser, puis en la tirant vers le haut, en faisant dĂ©buter son ascension, j'entreprends de la ramasser. De la cueillir dĂ©licatement au milieu de la rosĂ©e dĂ©sormais estompĂ©e. Les deux silhouettes recroquevillĂ©es sont dĂ©sormais debout, Ă la merci des vents, et de leurs vies. Mais jamais elles ne retomberont aussi bas que Ă©dition par Gabrielle Phoenix le Dim 21 Jan - 1852, Ă©ditĂ© 1 fois Re Dans le jardin, sur la belle pelouseContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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